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Flute trompette Kalina Dossanges Jariku

Le Souffle de la trompette du Couronné! - Photographie par l'artiste Marie-Anne Hémar

Qui suis-je en vérité?

Qui suis-je en vérité?
JARIKU
Urban Shaman à Prêtre de Rue

        Cette question qu'on se pose tous plus ou moins est essentiel quand on est un être humain, particulièrement quand on est artiste et qu'on cherche

à faire de sa vie un bon ouvrage, une belle oeuvre. Dans un désir d'honnêteté, je souhaite être clair face à toi lecteur!

Voici un article emprunt d'une grande liberté qui parle de: Qui je suis! 

Je veux partager sincèrement mon chemin spirituel, ma (dé)marche artistique, ma pratique militante, ma situation géo-politique,

mes évolutions cosmo-pratiques, mon sens du cosmique!

Je suis un Homme, un disciple du Christ, un artiste, un prêtre de rue, un kiffeur de poésie, un voyageur, un marginal devenu milieu du monde.

Je suis un activiste, un militant, un millénariste, un homme qui a le temps, un rêveur-réaliste. J'espère être bon un métisse-sage!

Je suis un amoureux, un ancien pêcheur en repentance qui chemine pour être pêcheur d’homme et qui aspire à la perfection!

Je suis nature, je suis terre, je suis ciel, je suis…

JARIKU

Le nom de JARIKU m'est apparu en 2015 lors d'un état de réception particulier de mon esprit, j'étais dans une recherche, comme guidé je cherchais

dans les langues Karibes des antilles les mots utilisés pour signifier Pélican. Et puis c'est comme si Dieu m'attribuait un nouveau nom pour une nouvelle vie!

Un nom pour une mission et un destin, pour prêcher au sein de notre société néo-païenne et idolâtre, auprès des athées, des ésotéristes, mais aussi auprès des peuples animistes et de certains "chrétiens d'apparat".

 

JARIKU signifie donc Pélican en Karibe, le Pélican solaire est un symbole Christique du moyen-âge parlant du sacrifice de soi pour les autres.

C'est une marque de sainteté, de charité et de justice. 

 

Sa verbalisation en Garifuna, peuple caribe d'Amérique centrale issus du métissage africain-amérindien, est Yalifu. 

JARIKU est aussi un mot proche de Jéricho, un ville biblique dont la racine sémitique se rapproche de lune car c'était une ville où il y avait chez ses anciens habitants des cultes aux astres dont la Lune. Yareach en hébreux c'est la lune, l'astre qui illumine les ténèbres, le phare dans la nuit.

Jéricho est, selon le livre de Josué, la première ville du pays de Canaan conquise par Josué et les Hébreux. Le livre de Josué relate la prise de Jéricho

et comment, le septième jour après l'arrivée des Hébreux, les murailles de Jéricho s'effondrèrent par la volonté de Dieu après le défilé sept fois

autour de la cité pendant sept jours, de l'Arche d'alliance et de sept prêtres sonnant sept chofars (trompettes). Jéricho c'est aussi la ville

où notre Seigneur Jésus-Christ a rencontré Zachée un collecteur d'impôts converti au christianisme qui a redistribué ses richesses aux nécessiteux.

JARIKU si on le lit selon la langue des anges (=ou langues des oiseaux) peut se percevoir: JA RI KU soit JAH se RIT des COUPS, comprenez que Dieu

se rit de ses détracteurs car il est l'ÉTERNEL, Créateur des anges, des hommes, des astres, si tel est sa volonté il peut fendre la terre en deux ou ramenez

à la vie ce qu'il souhaite.

JARIKU en indonésien veut dire mon doigt, en référence au doigt de Dieu qui touche les êtres qui l'aiment.

D'Urban Shaman à Prêtre de rue!

      A travers ce passage je vous propose une immersion dans ma pensée, parfait pour découvrir mon caractère et mes objectifs.

Vous découvrez comment j'ai évolué dans ma vision du métier d'artiste pour devenir Urban Shaman puis enfin Prêtre de rue. Je vous expose comment

ma découverte du chamanisme Amazonien m'a permis de percer des secrets mystiques notamment la Véracité de l'initiation chrétienne du Saint-Esprit,

mais aussi la bassesse de certaines organisations occultes. Cela vous permet de voir mon engagement en Vérité! 

En bon Prêtre de rue, ils nous appartient d'être une lumière pour l'Histoire, une bénédiction pour notre environnement et d'écraser les démons

sous notre talon par la puissance offerte par Jésus-Christ. Soigner la société c'est aussi l'exorciser!

Initiés A qui? A quoi?

   

Dans l'imaginaire collectif le chaman est un sage mystique, une personne qui est en harmonie avec la nature de l'univers et le monde spirituel. 

Le prêtre lui serait un enseignant de la Bible, qui incarne une forme de perfection de la foi et des écritures saintes.

La réalité est évidemment beaucoup plus intéressante que nos idées préconçues. 

Le chaman ou shaman est parfois présenté comme un médecin, parfois comme un prêtre, parfois homme de science des communautés tribales,

il questionne la structure mythique de nos psychologies. En 2015, je décide d'y associer le terme Urban pour créer un nouveau métier qui est une réponse aux besoins spirituels et culturels d'une partie de notre peuple citadin en demande de force de Vie et de Nature. Ainsi l'Urban Shaman ce métier

que j'ai créé était d'une part un spécialiste des spiritualités et des pratiques culturelles ancestrales, d'autre part un membre actif de nos cultures urbaines. 

Sujet devenu très à la mode depuis quelques années, souvent galvaudés ou tronqués, la plupart du temps instrumentalisé, il était pour moi une base

de réflexions essentielles sur notre rôle d'intermédiaire entre le monde terrestre et le monde spirituel, un personnage qui finalement restaure l'importance

de l'Harmonie dans un monde qui use du chaos comme politique de masse.

Je me suis intéressé au sujet du chamanisme, des perceptions extra-sensorielles des pratiques d'exorcismes suite à un voyage en Guyane en 2011.

J'ai ensuite passé mon D.N.S.A.P à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris en le nommant Métanoïa: une exposition retissant des liens clairs entre art et spiritualité. Le terme Métanoïa à un sens vaste, il signifie prise de conscience, repentance, ce qui dépasse, englobe, met au-dessus;

c'est en lien avec le verbe νοέω percevoir, penser avec un - changement de vue -  ou un - changement de regard - qui voit la pensée et l'action

se métamorphoser de façon importante, voire décisive. Cela fait donc 10 ans maintenant j'étudie la théologie, les religions à mystères et les religions révélées, les pratiques tradi-thérapeutiques et les miracles.

Shaman ou Saïman est un mot qui vient des peuples mongols toungouses des plaines de Sibérie. Signifiant celui qui saute, qui s'agite,

l'intermédiaire entre le monde divin et le monde terrestre, c'est une forme de prêtrise païenne. Il s'agit d'une spécialisation dans le domaine de l'esprit qu'ont développées les sociétés du langage oral qui n'ont pas reçu ou valorisés des révélations écrites à contrario des peuples Abrahamiques.

Il en existe une variété très large d'usages regroupés sous le nom de chaman, de celui qui est proche du médecin jusqu'aux sous-hommes qu'on appelle communément "sorcier".

Ce personnage que l'on retrouve dans beaucoup de culture existe donc sous des formes d'activités variées:

Conservateur du patrimoine immatériel, Diplomate inter-ethnique, Gestionnaire des espaces architecturales du village, Conseiller politique, Médecin,

Prêtre, Guérisseur, Magicien, Médium, Sorcier... Dès son origine on lui accorde un rapport au monde qui atteste que nous sommes avant tout des êtres spirituels. On parle parfois du bon et du "mauvais shaman". Son rôle premier était l'équilibre entre le monde divin et le monde humain,

l'équilibre entre l'environnement naturel et l'environnement interne du village, l'éco-système. Parmi les peuples qui ont des chamans,

on considère que derrière la nature existe une ou des forces invisibles, l'ensemble de ces forces sont la sur-nature.

Si nous sommes honnêtes il s'avère que de nombreux témoignages dessinent des chaman(e)s "ambigu(e)s", étant donné qu'il ou elle interagit

avec les forces invisibles les ethnies se demandent souvent avec quelles forces il ou elle s'entretient et si cela est pour favoriser plutôt les hommes

ou ces forces invisibles?! Il a existé des chamans identifiés communément comme bon, Géronimo par exemple et d'autres plus ambigus.

Toutes les cultures disposent de ce qu'on appelle communément des initiés, ce sont des personnes qui ont pris un chemin de perception et d'interaction

avec le monde de la sur-nature. Même dans le Christianisme lorsque l'esprit de Dieu vient vivre en nous, nous sommes initiés par le Saint-Esprit.

A Madagascar ce sont les Ombiasses, chez les Celtes c'était les Druides, chez les Kali'nas d'Amazonie ce sont les Piayés... Dans certaines ethnies

tous les jeunes sont initiés pour l'entrée dans l'âge adulte et quelques-uns se spécialisent dans le domaine spirituel. 

Dans notre société occidentale prétendument "laïc" c'est devenu un sujet "caché" ou "occulte" dans un but de manipulation des masses.

Si Dieu initie ses élus Grâce au baptême et au Saint-Esprit pour leur offrir gratuitement le cadeau de la vie éternelle en renonçant aux mensonges du monde terrestre. Le diable lui a corrompus l'esprit de l'homme pour qu'il crée une contre église que la bible appelle "synagogue de satan" qui porte plusieurs pseudonymes: "franc-maçonnerie, rose-croix, templiers, ordre de malte". Dans ces contre-initiations, c'est le diable ou ses démons qui au fur et à mesure

de leurs rituels viennent posséder ces initiés et les mettent en esclavage spirituel. Ces contre-initiés font ça en échange d'une facilitation de leur vie matériel ou l'obtention de "pouvoirs malsains", mais le prix de ces pratiques est l'enfer. Le diable souhaite particulièrement éloigner ces contre-initiés de Dieu

pour les emporter en enfer avec lui lors du jugement dernier, car il déteste et jalouse les hommes depuis le premier jour d'Adam en Eden.

Ces personnes en pratiquant occultisme, sorcellerie, magie et autres pratiques maudites, pêchent gravement et s'éloigne de Dieu. 

Il est important que comprendre que notre culture contient bien des voix mystiques de développement de son âme, même si certaines églises semblent  parfois dénaturer l'aspect surnaturelle du christianisme. Jésus-Christ étant Dieu incarné, il est l'initiateur par excellence qui nous montre le chemin

de la Vérité, de l'Amour de Dieu et de la Vie Éternelle. Pour simplifier pour que notre état d'homme soit sublimé en être Humain-Divin nous devons devenir comme le Christ, obéissant à Dieu, plein d'Amour, de Pardon, de Foi et de Paix. A l'inverse ceux qui pratiquent la sorcellerie écoute les mensonges

du serpent ancien et pensent qu'ils deviennent divin en redéfinissant le bien et le mal à leur convenance, en réalité ces pratiques les animalises, 

les "bestialises". 

Pour avoir le droit de goûter de l'Arbre de Vie qui donne la vie éternelle, il faut prendre le chemin tracé par Jésus jusqu'au Père.

Il n'y a pas d'autre chemin pour atteindre le Royaume des cieux. Le baptême, la communion, la prière, l'Amour de Dieu et de son prochain et le sacrifice

de soi sont les voies du chemin initiatique parfait pour accéder au Royaume Messianique et à l'immortalité selon les Saintes Ecritures. Vous déposez

vos soucis et votre mortalité devant Dieu, vous acceptez de vous charger de la croix et après qu'il vous ait éprouvé et transformé à l'image d'un fils de Dieu, vous serez parmi les élus qui régneront éternellement sur la nouvelle création après le jugement du monde. 

A contrario d'un chemin de sainteté divine donc, notre société française cultive des groupes initiatiques occultes depuis des siècles dont on retrouve la trace  facilement. Ces groupes sont des fraternités et des sororités de personnes plus ou moins influentes qui travaillent ensemble à huis clos pour imposer

leurs idées dans la société. Ces "fraternités occultes" sont connus clairement parmi les "cultureux", les croyants traditionnels ou la "haute sociéte"

et souvent "caché" au peuple. Mais les prophéties bibliques des Révélations s'accomplissant, la vérité apparaît mieux de jour en jour.

Bien sûr l'orgueil de ses occultistes les piégeant, ils s'exposent maintenant dans des journaux, vidéos et autres médias.

Par la grâce de Dieu certain anciens "franc-maçons" se sont repentis, vous avez de nombreux ouvrages à ce sujet.

(Exemple: Serge Abad-Gallardo auteur de - La conversion d'un franc-maçon : comment Dieu m'a arraché aux ténèbres des loges - aux éditions Artège)

Il existe donc une lutte séculaire entre le corps mystique du Christ, soit tous les élus de Dieu, et le corps mystique de "l'anté-christ" soit tous les disciples

du diable. Lutte qu'un vrai historien, théologue, homme de science ou de foi se doit de voir clairement pour ouvrir ses yeux en vérité sur l'Histoire!

On retrouve la trace de sociétés initiatiques délétères dans l'histoire de France et de l'architecture notamment grâce à la compréhension de la symbologie.

Ils ont, sembleraient-t'il, quelques liens avec les templiers(=ordre damné et erreur hérétique de l'église catholique). Ordre qui, contrairement à ce qui

se dit aujourd'hui, était détesté par beaucoup de paysans et de rois pour leurs blasphèmes, sorcelleries, idolâtreries, "viols sodomites", leurs manières,

leurs ingérences politiques et leurs impôts. Beaucoup d'hommes et de femmes célèbres qui sont "valorisés" par notre culture appartenait en réalité,

plus ou moins secrètement, à ces sectes. L'historiographie (art d'écrire l'Histoire) est en réalité souvent monopolisé par les lobbys économiques

qui travestissent volontairement l'Histoire dans de nombreux contextes (coloniales, politiques mondialistes, anti-cléricaliste etc.). 

( Voici un exemple d'un documentaire grand publique qui ne soulève que le petit bout de la languette, mais qui déjà permet aux gens qui douteraient de ces réalités de voir que ces fausses élites prennent la population pour des "andouilles": Mitterand, bâtisseur de mystères - documentaire vidéo )

Nous pourrions simplifier ce qu'est un chemin initiatique ainsi:

- D'une part le chemin spirituel qui mène à la connaissance de Dieu par la foi, la lecture et l'application de la sainte Doctrine, la prière et l'Amour,

source de miracle et de bonheur c'est le chemin initiatique par excellence, le plus difficile, celui qui demande de porter sa croix et d'être soumis

à Dieu avant toute chose. Il est unique, révélé, accessible à tous et clarifié uniquement par les évangiles offerte par Jésus-Christ, Dieu incarné parmi les Hommes, premier des ressuscités. L'esprit surnaturel de Dieu appelait Saint-Esprit vient aider les disciples lors du cheminement,

nous devenons le temple de Dieu et il vient vivre en nous. Vous serez ressuscités et obtiendrez la vie et le bonheur ETERNEL.

Vous verrez le royaume des Cieux venir sur terre et la Création être renouvelé pour vivre sur une terre qui n'a jamais connu le péché.

- De l'autre part une foule de chemin initiatique mensongers, de pratiques occultes, magiques, ésotériques, alchimiques ayant pour but de vous faire croire que vous êtes dieu sans agir selon sa volonté, de vous accorder des "pseudo-pouvoirs", une place dans des réseaux humains ou des avantages matériels. Ces pratiques sont basées sur le péché, le relativisme amorale et généralement la négation de YAHOWÉ incarné parmi les hommes.

Plus vous pêcherez, plus il sera facile au diable ou aux démons de venir vivre en vous et vous éloigner de Dieu,

jusqu'à faire de vous un esclave du mal prêt à tomber dans le lac de feu et de souffrance éternelle lors du jugement dernier.

Car plusieurs séducteurs sont entrés dans le monde, qui ne confessent point que Jésus-Christ est YHWH venu en chair.

Celui qui est tel, c'est le séducteur et l'antéchrist.

2 Jean 7 - Bible

 

 

Clarification, des liens invisibles aux liens visibles! 

Beaucoup me dirait:  Quel est donc le rapport entre le chamanisme, le christianisme et les sciences occultes dans notre monde moderne? 

Je réponds que si un français arrive à comprendre comment s'est articulé le chamanisme de Lascaux, le celtisme, le chrisitianisme et l'occultisme

dans l'Histoire de France il fait tomber toutes les barrières de l'obscurantisme et du scientisme et pénètre dans les révélations à plein pieds.

À l'état initial aucune société dans l'histoire de l'Humanité ne s'articule sans spiritualité, peu importe sa culture et sa religion,

absolument tout le monde choisi un chemin spirituel. Et même dans la négation ou le refus des réalités spirituelles il y a un choix.

Il est utile de savoir que la "Laïcité" est une spiritualité construite par les loges maçonniques parisiennes, qui avait entre autre pour but de faire disparaître

le christianisme de la France. Une religion "athéïste" pensée pour le petit peuple pour soustraire les valeurs morales et spirituelles enseignées par l'Église

et "libéralisé" la morale de notre société, un projet largement soutenu par l'Etat républicain depuis plus de deux siècles.

( Vous pouvez trouvez des témoignages de Vincent Peillon, ancien ministre de l'éducation nationale sur youtube à ce sujet: https://youtu.be/DIqHIcVWxn0 )

 

Saint-Paul  quant à lui nous parle dans les évangiles de ce qu'on appelle la Loi naturelle. Ce témoignage nous permet de comprendre que ce soit chez

les chrétiens, les juifs, les gentils(=les païens) ou les athées qui n'ont pas reçu les évangiles et les Révélations, il existe en chaque personne une conception naturelle et morale du bien et du mal. Cette perception est d'une part une preuve de l'humanité comme oeuvre extraordinaire et d'autre part une preuve

de la réalité métaphysique et constante de l'âme humaine. Pourtant en toute honnêteté et par expérience, nous savons que l'expérience de la vie,

la lecture des saintes écritures et la réception de l'Esprit Saint permet une bien meilleure perception de ce qui est bien ou mal en Vérité.

Quand les païens qui n’ont pas de loi par nature font ce qui relève de la loi, ces hommes, sans posséder de loi, se tiennent à eux-mêmes lieu de loi ;

ils montrent l’ œuvre de cette loi inscrite dans leur cœur, à preuve le témoignage de leur conscience,

ainsi que les raisonnements intérieurs de blâme et d’éloge qu’ils portent les uns sur les autres. 

Romains 2, 14-16 Bible 

De nombreuses prophéties à travers différentes religions parlent de ce que l'on appelle communément l'Apocalypse qui signifie en grec révélations.

Il s'agit d'une période de l'Histoire humaine où il va y avoir un affrontement entre des forces célestes, un choc interdimensionnel si on peut dire.

Les secrets ainsi qu'une partie des mystères divins seront révélés et bien que ces révélations est lieu certains refuseront quand même leur Créateur

et préféreront se confier dans l'homme, l'argent, le sex, les fausses doctrines, l'idolatrerie, le diable etc. Cette période préfigure une évolution particulière

de l'humanité vers un autre stade.

C'est une période qui contrastera nettement les différentes inclinaisons des coeurs des hommes, entre ceux qui servent Dieu en vérité et ceux qui servent

des forces damnés. Une cission et un affrontement spirituel entre le bien et le mal. Cette période amorce le Millenium de 1000 ans de paix

et le Jugement dernier où Dieu, Christ et les saints jugeront chaque âme pour savoir qui va être ressuscité dans la gloire avec l'ÉTERNEL,

et, qui va en enfer souffrir éternellement avec les anges déchus.

 

Pour finir sur les liens entre animisme, christianisme et occultisme; je pense que si le message divin est oublié et que des gens s'intéressent à l'ésotérisme, c'est car le peuple manque de connaissance. Ainsi ceux qui étaient censés transmettre la Bible et incarner la divine Sainteté se sont refroidis ou corrompus

je pense à certains membres de l'église catholique en disant cela. Mais la pensée "moderne" aussi est en cause, le relativisme spirituel et intellectuel

est dangereux, tout ne dépend pas du point de vue, la Vérité est une et indivisible. Enfin l'attrait pour les spiritualités en lien avec la nature

comme l'animisme est issu d'un désir normal d'être dans un environnement Edénique et Harmonieux, mais la méconnaissance des textes saints

et l'exotisation d'un "chamanisme commercial" crée des graves hérésies. 

Je fais partie des Chrétiens - Baptisé, communié et confirmé - ayant grandi dans l'église catholique qui ne reconnaissent pas l'évêque de Rome

comme vicaire du Christ! Je considère même que la plupart des Jésuites, dont est issus l'anti-pape François, sont de graves hérétiques absolument

pas chrétiens. En 2017, leur porte-parole Arturo Sosa Abascal en disant publiquement que le diable n'existerait pas blasphème toute la Bible

et au final sert des plans malsains, car faire croire que le pire ennemi de l'humanité n'existe pas c'est en fait travailler pour lui.

Ces ordres qui ont des églises et sont proches d'écoles renient la Genèse, l'ancien testament et donc la raison même du sacrifice du Christ.

Ce sont des sectes déguisaient en chrétiens qui sont en plus autorisés par le Vatican alors qu'ils font des abominations devant l'ETERNEL.

(A savoir que les jésuites ont été exclus de l'église pendant une période ce l'Histoire)

 

Je suis certain que la Sainte Doctrine soumet toutes traditions humaines grâce aux évangiles cela incluant bien sur les mauvaises traditions humaines

que l'église catholique aurait pu adopter au fur et à mesure du temps. Une partie des gens travaillant dans l'église s'est perdue dans la corruption

des affaires du monde (=Inquisitions, croisades, tortures, indulgences, persécution des vrais croyants, idôlatrie, pédophilie, enrichissement sur le dos

du peuple, jeu en bourse, désinformation sur les lois divines, frein à la lecture biblique de groupe etc, absence d'évangélisation dans les rues). 

Il est évident qu'au même titre que le diable avait corrompus des prêtres pharisiens et saducéens de Jérusalem pour qu'il crucifie le messie,

le diable a trouver utile à ses plans macabres, pour que les hommes rejettent la Bible, de corrompre l'église catholique. 

 

Nous devons purifier l'église catholique et évangéliser pour sauver des âmes sans attendre d'être missioné par les hommes car nous sommes d'office qualifié par le Père si nous avons reçu son Saint-Esprit! Nettoyons nos coeurs de l'intérieur, communion pour rénover notre édifice, notre temple, notre corps; le corps du Christ étant l'ensemble des chrétiens véritables dont la vie a été consacré au divin chemin de croix légué par le fils de Dieu.

- Mon peuple est détruit, parce qu'il lui manque la connaissance. Puisque tu as rejeté la connaissance, Je te rejetterai, et tu seras dépouillé

de mon sacerdoce; Puisque tu as oublié la loi de ton Dieu, J'oublierai aussi tes enfants. - Osée 4:6

 

- Mais le Très-Haut n'habite pas dans ce qui est fait de main d'homme, comme dit le prophète: Le ciel est mon trône, Et la terre mon marche pied.

Quelle maison me bâtirez-vous, dit le Seigneur, Ou quel sera le lieu de mon repos? - Actes 7:48

- Alors Jésus dit à ses disciples: Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive. 

Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera. - Matthieu 16:24

- Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l'Esprit de Dieu habite en vous? Si quelqu'un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira;

car le temple de Dieu est saint, et c'est ce que vous êtes. - Corinthiens 3:16

- En effet, tel est l’ordre que le Seigneur nous a donné: Je t'ai établi pour être la lumière des nations, pour apporter le salut jusqu'aux extrémités de la terre. -

Actes 13:47

 

Je pense que si le néo-chamanisme et les pratiques ésotérico-religieuses comme le yoga attirent de nombreuses personnes c'est car elles se déguisent,

se font proche de la nature, du bien-être, d'éléments dont les citadins manquent fortement. Mais en réalité ce sont souvent des pratiques ayant pour but

de se laisser posséder par des forces occultes. Les occidentaux se laissent séduire par des religions éloignées dont ils ne connaissent en réalité rien.

A contrario ils rejettent pour certains le fait d'être habité du Dieu Vivant car ils ne lisent même plus la sainte Bible. Aucune de ces pratiques à demi-importés et à demi-traffiqués n'assurent l'accès au Paradis et ils dessinent donc souvent le chemin inverse.

 

Le nirvana et l'instase boudhique cherche la disparition et la mort absolue de la flamme de l'âme (ce qui n'est pas possible en réalité).

L'éveil de la "kundalini" est une façon de s'ouvrir à des possessions d'entités à travers des chakras. Le chamanisme vendu aux occidentaux

est presque toujours un mélange d'expérience de possession d'un esprit auxiliaire animalisé à travers une transe et la prise de psychotropes dangereux

pour l'intégrité spirituelle. C'est un grave retour en arrière pour les gens qui usent de ces pratiques comparativement aux messages des Saintes Évangiles

et à l'Amour du prochain et l'Amour de Dieu. Je vous invite vivement si vous souhaitez explorer ces nouvelles formes religieuses rafistolés à lire

auparavant les évangiles et voir la différence par vous-même.

Ainsi, je valorise la pratique d'un christianisme primitif basé sur la vie que vivait Jésus-Christ et les apôtres, basé sur la prière, l'Amour,

une distance réelle avec le matérialisme, une lecture littérale de l'ancien et du nouveau testament, une diffusion des évangiles, l'humilité devant Dieu,

la recherche de sanctification, une communion régulière, un usage assumé des dons charismatiques, la pratique de l'exorcisme, de l'onction

et de l'imposition des mains. 

Je suis un racheté qui fait tout ce qu'il lui est possible pour suivre le Christ et me purifier pour vivre en pleine unité avec le Saint-Esprit. 

Je valorise aussi, dans ma façon de vivre ma foi, le lien avec la Création qu'a eu Saint François, une simplicité de vie, une recherche de proximité

avec gens ouverts, un rapport d'amour et de proximité avec la nature, la faune et la flore.

Je suis donc passé d'Urban Shaman de 2011 à 2019 à Prêtre de rue depuis ma nouvelle naissance en Christ en 2019. 

Bien que j'avais toujours été chrétien, je suis devenu à ma relecture de la bible un vrai disciple de Christ et j'utilise toutes les techniques artistiques

dont je dispose pour diffuser la bonne nouvelle: Peinture, Dessin, Sculpture, Performance, Musique, Danse, Chant etc.

Je me suis aussi spécialisé par le prêche de Christ dans les communautés "New-Age", leur démontrant que le chamanisme, le païanisme et de nombreuses pratiques modernes sont dangereuses et doivent être circonscrites au regard de la parole de Dieu! 

Mon message est simple, si vous cherchez un soigneur, une source d'Amour, de Paix, d'élévation spirituelle, d'Unité, de vie éternelle alors on peut dire sincèrement que le plus grand Chaman Blanc de l'histoire de l'humanité est Jésus-Christ, le chemin de Vie de Vérité. YAHOWÉ, Dieu incarné parmi nous!

Histoire de l'Art

Dans l’Histoire de l’art

Formation d'un Regard Frais

Je suis né dans une culture brassant Pop Art, Art Sacré, Culture Hip-Hop et Culture classique française. Mon père étant antiquaire, j'ai intégré

très jeune une multitude de styles et techniques marquant les grandes époques de l'art, du mobilier et design français. Je me suis aussi bien nourris

des bandes-dessinés et de la culture animé que je trouvais à la médiathèque de Lens. Puis, mon frère rappeur et graffeur a contribué dans ma jeunesse

à ma découverte de la culture Hip-Hop. Mon grand-père maternel quant à lui me faisais découvrir les outils de son atelier notamment pour des constructions

en bois de type maquette.

 

Terre de luttes syndicales, la région Nord-Pas de Calais et mon engagement m'ont aussi formé une esthétique de la lutte social.

Ma région a aussi été pour moi le lieu de découverte de mes premières églises et communautés de prières. Étant jeune, mes parents ont décidés

de ne pas me baptiser à la naissance et de me laisser libre de choisir ma voie, dès l'âge de huit ans j'ai souhaitais intégré le catéchisme, puis l'aumônerie cheminant dans l'église jusqu'à mes 15 ans. Je pense que j'ai démarré le catéchisme car je voulais un parrain et une marraine, comme mon frère qui lui avait été baptisé à la naissance. Je me rappelle que dès les premières heures de catéchismes et les lectures d'évangiles j'ai été touché par Jésus. Quelqu'un qui avait tant d'amour et des valeurs si pures pour un enfant c'est le modèle parfait. De nombreuses activités avaient lieu dans différentes églises. Des églises modestes

à des lieux chargés d'histoires, j'ai intégré toute une iconographie et une architecture qui berce les églises françaises.

C'est avec cet environnement et ces perceptions multiples que ma propre esthétique est née.

Ainsi dans la première phase de mon oeuvre, de 2007 à 2011, je me suis intéressé à la fusion des styles à travers le positionnement d'un art à vocation sociale. Je souhaitais créer une oeuvre qui parle aussi bien aux non initiés qu'aux spécialistes, avec toujours cette idée que l'art devait créer une réflexion 

sur notre propre société, plus qu'un simple reflet, il devait être un catalyseur, provoquer une catharsis. 

J'ai démarré dans mon enfance avec du dessin d'analyse, de l'illustration, du pochoir et de la peinture à l'huile. Le peinture à l'huile était pour moi un temps

hors du monde ou au centre du monde... Un vrai moment de bonheur! L'art me permettait de sortir pour un instant du courant des idées pour me centrer

sur ce que je souhaitais partager avec le monde. La peinture m'offrait un double cadeau: le premier était l'amélioration de mon acuité visuelle par une nouvelle compréhension des formes qui vient en peignant, le second cadeau fut la possibilité de rendre visible aux autres ce que j'avais en tête.

En 2008, en sortant du lycée Condorcet, un établissement publique de Lens, je découvre Paris et ses pratiques culturelles notamment par le biais

des Ateliers de Sèvres. Je crée mes oeuvres grâce au dessin morphologique, la photographie documentaire, la photographie fantastique et la peinture...

Je prépare conjointement le concours des Arts Décoratifs et des Beaux-Arts de Paris, lors du résultat des pré-sélections qui sont tous deux positifs,

je décide de ne pas donner suite aux concours des Arts Décoratifs. Contrairement à ce mensonge de société qui souhaite faire passer l'Art pour inutile,

j'ai toujours été certain qu'il existe dans l'oeuvre d'art pure une possibilité de toucher le coeur et l'esprit des Hommes.

Mes premières années aux Beaux-Arts me permettront d'expérimenter des métissages de techniques et des fusions de styles fertiles. 

En terme formel, je cherchais à unir le charme de la figuration avec les qualités du caractère de l'expressionnisme. 

Mon cheminement m'a permis d'ajouter comme corde à mon arc l'art de la performance et celle des arts céramiques. 

Au fur et à mesure entre les cours de l'ENSBA, mon travail d'animateur-conférencier au Centre Pompidou et mes excursions en dehors de ces systèmes,

j'ai pu être inspiré par de nombreux courants: la peinture Moderne, le Land Art, la peinture à vocation religieuse, l'Impressionnisme, le Street-Art, le Surréalisme,

ce que j'appelle le Social-Art, l'Esthétique Relationnelle, l'Art Moderne, les Arts Premiers, la Danse et l'Installation.

A partir de 2010-2011, je développe un grand intérêt pour la céramique et le bois. Ma résidence avec les potières Kali'nas de Mana en Amazonie française m'a beaucoup questionné sur le lien entre l'oeuvre d'art, l'esprit de l'homme et le sacré. Il est fort possible que créer dans une culture différente

m'a permis de revenir avec un regard frais sur notre propre patrimoine. Je mène alors de longues réflexions au sujet des lieux de cultes, des objets et oeuvres qui concerne les cultes et suit des cours d'anthropologies... J'étudie ainsi de nombreuses collections de musées Français et Américains...

Je me suis rapidement différencier d'une pensée dogmatique de la "rupture" qui est un vieux concept du style "Art Contemporain". 

Il me semble évidemment qu'au sortir de ces idées ridicules, c'est un lien d'union et de tradition renouvelée par notre inventivité qui doit créer demain. 

Je suis dubitatif des discours des artistes contemporains qui sont d'une part truffés de référence historiques et de l'autre part qui se disent couper le lien

avec les traditions pour s'établir comme des îlots isolés de l'inventivité, j'y vois une dangereuse hypocrisie intellectuelle.

Très vite aussi, malgré de nombreuses actions de ponts culturels entre la banlieue et l'intelligentsia parisienne, je m'ennuyais d'un hermétisme 

du monde officiel de l'art, d'une déconnexion avec les enjeux socio-politiques réels et d'une recherche du paraître plus que de l'être.

Je me rappelle de discussions avec des artistes célèbres de la scène internationale qui finissait en queue de poisson dès que j'évoquais le lien avec le peuple. J'avais aussi cette étrange sensation qu'au fond les réalités de la banlieue et des régions pauvres de France était un sujet un peu tabou,

comme si "l'artiste contemporain" avait le droit de montrer mais non pas de modifier ou d'interagir avec les situations du réel. 

Ce genre de postulat était tellement différent de l'héritage de l'art moderne que je le trouvais réducteur pour l'art et l'artiste. Il m'est apparu clairement

qu'un artiste, un vrai, à une action qui se situe à plusieurs niveaux, celle de l'oeuvre visuel, de l'oeuvre social et de l'oeuvre spirituelle.

C'est uniquement ainsi qu'il impacte tout son environnement avec une conception nouvelle et harmonieuse du Beau.

Simplement, même la notion du Beau était devenue tabou aux Beaux-Arts.

Je me méfiais aussi de cette façon dont nous artistes cherchons parfois à devenir des idoles... Jeff Koons qui exposent sa femme actrice porno,

Boltanski qui enregistre les battements de son propre coeur, Sophie Calle qui romance sa vie bourgeoise pour les pauvres...

Qui sont donc ces gens pour en venir à appeler Art cette pauvreté morale et exhibitionniste? Je ne veux pas les accabler car il est connu que les années 70

ont crées dans le milieu de l'art ce qu'on appelle "la mythologie personnelle" mais le story-telling à du sens quand il nous permet de révéler

quelque chose d'universelle ou qu'il apporte une nouvelle pierre aux perceptions et émotions de l'Humanité.

Je contemplais en même temps mes propres hypocrisies autant que celle d'une partie de ce monde culturel qui se glorifie à la lumière des spots d'expositions plutôt qu'à la lumière du coeur. Bien heureusement, il existe une multitude d'artiste qui ont des démarches tournaient vers l'autre en vérité, mais pour combien

qui parade?

Dès mes 21 ans, je sentais que le métier d'artiste tel qu'il est défini par les institutions culturelles françaises aujourd'hui était un espace trop petit pour moi.

Je souhaitais que mon action spirituelle, mon action artistique et mon action social soit une et indivisible. 

Art Décolonial en Vertu! Violence, Vérités et " Traitr-Peyi "!

Pas à Pas, à travers mes voyages, résidences et l'étude de mon histoire familiale je me suis intéressé aux arts qui traitaient de l'histoire coloniale

et néo-coloniale. Les histoires de l'Afrique, de l'Algérie, des Caraïbes et aussi celle des nations amérindiennes me touchaient fortement.

Je délie l'histoire officielle de la Vraie Histoire qui incluait la violence coloniale, commerce d'être humains, empire bancaire, fraternités, pouvoirs politiques etc. 

La Guyane française a profondément marquée mon imaginaire grâce à la grande multitude des arts, motifs, cultures et histoires qui la constitue. 

La faune et la flore sont d'une grande beauté, c'est aussi un facteur indéniable d'inspiration pour qui est sensible à cette densité du vivant.

Étrangement, bien que j'ai très jeune oeuvré sur des sujets de décolonisation j'étais rejeté par la mouvance "décoloniale" officielle. 

Pendant que je menais un travail de fond auprès des amérindiens ou des bushinengués, que j'oeuvrais sur la beauté de mon métissage

Kabyle-Algérien-Italien-Hongrois-Français, mon discours ne passait pas auprès des institutions car trop véridique.

Ce soi-disant "milieu décolonial" se veut bankable, il préfère un arabe bien typé et vendu genre "harki de l'art" ou un blanc bien éloigné du métissage

qui tient un discours sans conséquence et condescendant, je découvrais une nouvelle fois une intelligentsia emprunte d'hypocrisie.

Des personnalités discrètes qui placent volontairement des gens sans courage dans des groupes militants pour s'assurer de l'inertie de ces groupes.

Sont ainsi souvent érigés des faux héros décoloniaux comme des anciens flics, des amis de la préfecture, des militants du dimanche qui ne donnerait pas

une paire de chaussure pour libérer leur peuple. Ce sont souvent des pseudo-militants qui sont proches des pouvoirs néo-colonialistes privés ou publiques.

Rien de plus utile pour un "pouvoir politique dictatoriale" que d'organiser et placer les technocrates, leurs opposants et les militants plus proches des pauvres.

C'est comme si on plaçait une actrice porno pour gérer l'association: Ni pute, ni soumises...

Dans un registre proche, pour ceux qui aimeraient comprendre ce que je dis, je les invite par exemple à enquêter sur la différence entre ce que les membres

de S.O.S racisme disent d'eux-mêmes et ce qu'en disent d'autres vraies associations militantes plus humbles mais plus véridiques.

J'ai vu de mes propres yeux chez les artistes des choses incroyables. Par exemple on exposait un artiste qui se disait "décolonial" car il imprimait des images

de tableaux français classiques en y ajoutant quelques incrustations de peau de jaguar et de pelures de banane... On présentait un photographe qui partait

en Afrique prendre quelques portraits et au passage faire un peu de tourisme sexuel comme agent de la "réflexion décolonial"... On bien encore un artiste

sans aucun métissage, qui fait toute sa carrière à Paris en valorisant qu'il est né dans les antilles et qu'il tiendrait un soi-disant discours de "militant décoloniale" qui serait important au vu des caraïbes dans lesquelles il ne va que pour ses vacances. J'étais scandalisé d'un spectacle aussi sordide, souvent ces faux artistes "dé"coloniaux sont des personnes qui ne fréquentent que la bourgeoisie et ne se soucient pas d'aider concrètement les communautés des pays encore

sous le joug néo-coloniale.

Je le dis avec courage car c'est une vérité qui irrite certains: beaucoup de métis arabes, d'amérindiens et de noirs qui sont valorisés comme agents

de la réflexion décoloniale sont à la solde des forces coloniales en sous-main; ils sont les "pions hypocrites du néo-colonialisme"!

 

Soyons clairs si vous commencez vraiment à mener des batailles, oeuvres d'art ou actions militantes, qui auraient pour but d'améliorer vraiment la qualité de vie dans les Dom-toms ou dans les pays sous influence néo-coloniale vous serez traqués, persécutés, harcelés, que cela soit par les gouvernements en place

ou par des gens discrètement mandatés par les familles de "grands propriétaires terriens" ou d'entrepreneurs coloniaux. Vous verrez d'ailleurs que plus

le système est emprunt de monstruosité plus les artistes qui sont exposés facilement dans les lieux publics sont insipides dans leur portée socio-politique

ou spirituelle. 

Les Dom-toms et anciennes colonies sont tellement surveillées que même parmi les groupes indépendantistes vous avez des mandatés par les renseignements généraux et autres organes de surveillance anti-libertaires. De ma propre expérience, j'ai travaillé avec des artistes qui vivent dans la violence néo-coloniale

et sont présentés par les médias comme des militants de la liberté alors qu'ils collaborent en secret avec l'état ou des groupes politiques en place depuis

des décennies. Ils placent par exemple chez les amérindiens ceux qui seront corruptibles le plus facilement pour être certains que les amérindiens n'auront jamais de représentants trop exigeant. Ils demandent même à ces pseudo-militants de créer une idéologie anti-patriotique car cela sert les politiques mondialistes

et justifie les organes politiques comme l'O.N.U.

Lorsque les terroristes miniers ont voulu sortir le projet "Montagne d'or" en 2015-2016, projet monstrueux qui allait consister à ouvrir la Guyane,

l'empoisonner au mercure, prendre l'or pour quelques riches entrepreneurs étrangers (Russie, Canada, USA...) je militais ouvertement contre ce projet. 

J'étais menacé de mort et insulté à travers internet mais aussi par téléphone, cela ne me touchait pas car je m'attendais à cette réaction mais là où j'ai vraiment été étonné c'est au fur et à mesure des années de la part des jeunes politiciens amérindiens. Alors qu'eux étaient dans des associations et syndicats 

et donc aussi un peu protégé par ces groupes, lors d'une conférence sur Paris où ils m'avaient invités c'est moi qui ai dénoncé le projet "Montagne d'Or"

pour en informer les parisiens, amérindiens des U.S.A.S et autres antillais présents. Cela pouvait être acceptable, je me disais: ils ont peur c'est compréhensible vu les enjeux économiques et la violence des entreprises minières. Mais au fur et à mesure j'ai compris que c'était plus horrible que ça.

Après cette conférence, ces guyanais avec qui j'étais et moi-même commençâmes à discuter avec des militantes chiliennes qui habitaient sur Paris.

Certaines d'entre elles étaient de descendance Amérindienne. Elles avaient l'air rodées au niveau du militantisme et semblait bien plus précautionneuse

que moi au vu des techniques des autorités chiliennes, après qu'elles nous aient invités à manger, elles ont demandé à mon camarade amérindien

et son cousin ce qu'ils faisaient dans la vie. Elle réussie à faire dire au second qu'il était policier. Le ton à tout de suite changé car nous avions évoqués

des projets militant pendant le repas. Pour ma part je me rendais compte que j'avais aussi divulgué devant ce policier mes propres projets. 

Quelle naïveté de ma part de croire que comme c'était un cousin amérindien du militant qui m'avait invité à cette conférence je pouvais parler devant lui.

Au fur et à mesure que je crée des liens avec ces soi-disants militants, je me rendais que quelque chose clochait chez eux. Par exemple, j'avais travaillé

plusieurs mois sur un site internet que j'avais créé pour les jeunes des communautés amérindiennes puissent partager leur regard sur les actualités,

partager des savoirs, des informations et avoir leur propre média internet. Parmi les articles que j'avais écrit avant de remettre la gestion du site aux syndicats amérindiens, un des articles faisait le lien entre les anciens colons nommés les croisés, les "sectes templiéres" anciennes, les sociétés de mines de différents pays

et des hommes politiques français comme E.Macron ou Alain Juppé. Nous avons eu presque 3000 visiteurs alors que le site venait d'être publié.

Lorsque j'ai partagé les codes de gestions du site à ces "pseudo-militants" que je pensais être des camarades militants amérindiens, ils ont enlevé les articles

sur ces sujets et mis une photo d'eux et d'une député Guyanaise au Sénat en mode "le monde des bisounours" comme des collaborateurs qui oeuvraient

pour l'état. Pire que cela, ils n'ont absolument formés aucun jeune qui auraient pu être intéressés pour faire vivre le site internet. Pour eux, le site devait être

un outil de communication pour leurs faux syndicats de traître-peyis mais ils ne voulaient pas d'un média libre pour les jeunes amérindiens...

Mais ils ont eues des vices pires encore, par exemple ils ont pris mes photographies des manifestations guyanaises à Paris pour faire des affiches d'évènements sans même me demande le droit d'utiliser ces images, ni m'inviter à ces évènements. Puis leur groupe de politiciens amérindiens corrompus, soi-disant libertaires, ont demandé à des jeunes amérindiens de dire sur internet que j'étais un colon. Moi qui militais pour la Guyane, subissait les insultes et menaces,

qui n'avait jamais participé au pillage, qui avait travaillé gratuitement pendant des mois pour des associations Jeunesses Autochtones...

J'étais dégoutté de voir de tels procédés de la part de soi-disant militants.

Le fait est que je militais pour l'émancipation des peuples car mon identité familiale métisse Franco-Italo-Algérienne me donnait cette envie de plus de justice

dans cette France violente avec ceux qui ont des origines différentes. Mais je découvrais des gens immondes, qui derrière leurs coiffes de plumes

sont des collaborateurs proches de l'état et des politiques, qui osent se faire passer pour des militants et qui accusent publiquement les vrais militants 

d'être des colons. C'est à ce moment-là que vous comprenez un peu mieux l'esclavage mental dans les Dom-toms et l'horreur néo-coloniale.

Je ne pourrais pas vous raconter tout le harcèlement que j'ai vécu car vous ne le croiriez pas mais voici quelques exemples pour vous éclairer:

1) La gendarmerie de Guyane m'a appelé pour dire qu'elle enquêterait sur moi si je portais plainte contre un politique local qui m'a physiquement agressé.

2) Des anciens militaires m'écrivez en privé sur les réseaux pour me dire que dénoncer le lien entre la corruption de l'état et la "franc-maçonnerie"

était une folie, que je devais arrêter de croire en Dieu et me faire "interner".

3) Lors d'un de mes pèlerinages en Guyane, à Mana, des vieux riches colons blancs "masogans" me suivaient quand j'allais manger au restaurant

ou quand j'étais en ville et disait "C'est un colon, c'est un colon!". Ou bien pour vous effrayer, ils foncent sur vous en voiture et freine au dernier moment

à quelques centimètres de vous, ils ne parlent pas, ne s'excuse pas, vous regardent de façon menaçante et partent. En faisant cela, ils laissent implicitement comprendre qu'ils veulent vous tuer. Des techniques de maffiosis écoeurantes qui sont courantes en Guyane française. 

Leur but est soi de vous faire abandonner la lutte ou d'inverser la réalité aux yeux des gens. Les familles bourgeoises coloniales, de toutes les couleurs d'ailleurs, m'accusaient moi un humble militant, acteur socio-culturel au grand coeur, d'être un colon pendant qu'elles se gavent sur le dos des gens et dévorent leurs âmes, leurs vies, leurs temps. Ils ont une haine inimaginable des vrais chrétiens au sens biblique du terme et des vrais militants.

C'est à se demander: Combien préfère collaborer à l'appauvrissement, au pillage et à la prostitution du pays plutôt qu'à son élévation? 

Décolonisation de l'Art ou Art de l'exorcisme?! Un chemin propre.

L'art, la culture et la liberté d'un peuple sont intimement lié, c'est ce que j'ai compris au fil de mes résidences et recherches.

L'art moderne et contemporain est un lieu de pillage sensoriel et culturel très particulier. Picasso par exemple s'est beaucoup inspiré de l'Art Africain

sans vraiment valoriser l'Homme et la culture africaine pour ce qu'ils sont en tant que tel. Mais ce qui est étrange c'est que ces mouvements d'emprunt, d'inspiration ou de vol fonctionne dans de nombreux sens. J'ai découvert des antillais qui s'inspiraient d'Andy Warhol, des chinois qui s'inspiraient de Monet, des amérindiens qui sont inspirés par le surréalisme européen etc. 

C'est alors qu'un artiste averti ou un esthète se demande: Comment rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu? 

Il est important de distinguer dans le monde culturel ce qui est du métissage, du partage, de l'invention, de l'inspiration, du pillage et de l'appropriation culturelle. Vous devez étudier sérieusement l'histoire d'une oeuvre et d'un artiste pour voir la Vérité émerger.

 

Prenons un exemple simple et réel: je suis artiste français je viens faire une résidence d'artiste avec des artistes bushi'nengués en Guyane française.

Je leur partage des techniques d'ornements et idées de design, eux me montre comment sculpter le bois et pratiquer l'art du tembé (entrelacements + ornements abstraits et symboliques). Je peins ensuite, comme une référence amicale, une unique peinture s'inspirant du portrait figuratif européen mais où le modèle

est descendant afro-caribéen et dans lequel le fond du portrait est un tembé. 

Dans l'autre cas: je suis artiste amérindienne française. Je connais les symboles et motifs de mon peuple. Je décide de vendre une série de "motifs sacrées"

utilisé normalement en ciel de case à une chaîne de magasins pour qu'il en fasse des planches à découper pour la cuisine. Je ne demande pas l'autorisation

à ma communauté et ne reverse pas un euro des gains symboliques engendrés à un syndicat ou une association locale.

Où est le vol dans ce cas? Où est l'appropriation culturelle? Où est l'art libre? Où est le respect du patrimoine et où est la création véritable?

Il s'agit de questions d'une grande subtilité car cela aborde la propriété et la liberté des idées, des oeuvres, des symboles, des motifs, des styles etc.

Il faut être vigilant car si par exemple on commence à interdire à un blanc de porter un boubou que son ami africain lui a offert car on qualifierait

cela comme de "l'appropriation culturelle", qu'en sera t'il de cet ami africain qui aime porter sa chemise Ralph Lauren que ce même ami lui à offert?

Nous devons donc veiller à ce que les artistes, les peuples aient le salaire juste et la reconnaissance de leur créativité dans le cas d'activités commerciales,

mais nous ne devons en aucun cas créer des barrières aux échanges culturelles, à la créativité et à la beauté. L'identité est une force qui nous permet

d'aller librement vers l'autre pas un "masque-bouclier" pour s'enfermer en soi-même, c'est un fait valable pour les individus comme pour les communautés.

On se rend bien compte que bien qu'on nous parle d'une fin de l'esclavage et de la colonisation, la réalité est toute autre et elle s'expose via à la culture.

La violence des pratiques coloniales a engendrée des siècles de censure, de mépris de l'art car vecteur de liberté et de déséquilibre au niveau

du développement des structures culturelles de base. Dans le monde des Arts Visuels ce n'est que depuis quelques décennies que nous voyons des artistes antillais et africains sur la scène internationale et dans les foires présentés comme on présente des artistes occidentaux. Ils ne sont plus des sculpteurs

de masques africains mais des artistes contemporains avec des histoires, styles individualisés et "popisés" comme le demande ce marché. 

Mais si c'est un vrai bonheur de voir des pays africains développer leurs écoles d'arts, leurs musées et exposer des artistes pleins de créativités

qu'en est-il de la situation en France dans les territoires d'outremers? L'état français a-t'il le même respect pour ses citoyens réunionnais, guadeloupéen,

guyanais que pour les niçois et les nantais par exemple? 

Le travail de démocratisation de la culture, la création de musée, de centre d'arts, d'écoles d'arts(=beaux-arts+arts appliqués) de niveau national

ou international, le subventionnement des galeries professionnelles ou associatives sont-ils actifs dans ces territoires de la même façon? 

Question d'autant plus pertinente quand on voit que le Ministère de la Culture a augmenté son budget cette année 2021.

Certains voudront utiliser la formule magique des politiques pour répondre à cette question: "Nous allons créer une commission, enquêter, évaluer

et organiser des réunions des acteurs culturels locaux pour voir ce qu'il faut faire?". C'est ce que l'état fait quand il ne veut rien faire,

c'est une technique bien connue, quand les politiques veulent enterrer une affaire il crée une commission. A mes yeux, je dis clairement qu'à ce jour si l'état

et de nombreux conseils régionaux dans les dom-toms ont été ignorants ou presque des travaux et investissements nécessaires dans le domaine culturel

c'est par "racisme masqué" ou "néo-colonialisme républicain". Un peuple dans lequel on ne permet pas, ou ne valorise pas, la vie des artistes, des penseurs,

des designers, des architectes, est un peuple muselé. Je ne parle même pas du lien entre les artistes et les habitants qui est un sujet en soi.

Certains ont formés des pensées décoloniales où le projet est l'indépendance - tout de suite -, projet que je comprends tout à fait.

Cependant, je crois pour ma part que dans de nombreux cas ce sont des hypocrites qui souhaitent juste voir les territoires et richesses locales changer

de propriétaires et que cela peut même être organisé avec les forces politiques en place. Lorsqu'on étudie vraiment les indépendances politiques

avec la France on découvre que l'état a souvent placé les remplaçants des gouvernements et que les entreprises coloniales sont souvent restées en place. 

Je pense que toute indépendance doit être négociée avec des contrats clairs sur les remboursement dûs aux régions qui ont été pillées pour permettre

qu'elle se développe normalement. Prenons le cas de Saint-Domingue appelé maintenant Haïti, car on y observe le cas inverse, l'ancienne colonie

qui s'est appauvrie dans des dettes à outrances. Les loges maçonniques de l'île, avec des personnages comme Toussaint Louverture, ont paraît-il organiser

la révolte pour l'indépendance. Dans le fait, cette île produisait 50% du sucre mondiale, elle aurait pu devenir un pays très riche. Mais les loges qui négocièrent l'indépendance avec le Royaume de France acceptèrent que les Haïtiens prennent leur indépendance pour 150 millions de Francs-Or, cette dette courue

de 1838 à 1947 bloquant tout développement normal d'Haïti. La révolte avait donc servi des élites maçonniques blanches et noirs mais le peuple avait été mis en misère pour une période indéterminé. Ajoutez à cela que les pratiques "vaudouïsantes" et des autres "sectes maçonniques" se sont banalisées en Haïti,

l'ÉTERNEL a donc freiné la prospérité de ce peuple. Saint-Domingue serait-elle plus prospère et plus libre aujourd'hui si elle était restée française?

Qui a vraiment été enrichie par cette indépendance de surface? Qu'est-ce que Dieu souhaite pour rendre prospère ses enfants Haïtiens? La question est là...

Il faut voir que certains projets indépendantistes ou régionalistes peuvent dans certains cas être teintés de mysticisme comme l'était le nazisme.

Il faut veiller à une grande attention à ne pas se faire piéger par ses discours. Le retour à des pratiques comme la magie, la sorcellerie, l'alchimie,

le païanisme est aussi une arme du diable pour empêcher les gens d'accéder au Christ et à la vie éternelle.

Il est essentiel de différencier décolonisation, indépendance ou retour en arrière et cela à tous les niveaux.

Par exemple accéder à l'indépendance pour vendre les terres à des pays étrangers ou à des entreprises minières n'est pas une vraie indépendance; 

que l'état français place des noirs à des postes qu'il réservait aux blancs n'est pas une forme de décolonisation si c'est pour que ses personnalités politiques

est la même politique raciste; décider de sortir du christianisme pour revenir à des pratiques en parties fantasmées de cultes aux esprits c'est simplement retourner vers la damnation et raté la vie éternelle.

Selon moi, briser les chaînes de l'esclavage à titre individuel se fait d'abord en brisant l'emprise du diable et du péché sur nous et en apprenant à vivre

dans l'amour et l'esprit saint. Puis de façon collective il faut briser les chaînes de l'emprise des banques, "grosses entreprises" et "grands propriétaires terriens" pour que chacun puisse avoir sa terre et de quoi vivre dignement, librement.

Je milite donc aujourd'hui avant tout pour un décolonialisme spirituel, ce qui veut dire sortir de ces comportements diaboliques des capitaux et politiques

qui consistent à piller les territoires et le coeur des citoyens français tout en ne leur donnant pas le respect qui est dû à leur statut, mais aussi à leurs histoires.

Je vais prendre un cas concret, pendant des années les indépendantistes guyanais ont été traqués, menacés voir assassinés;

certains vous diront par le gouvernement, c'est à vérifier car il existe de nombreux intérêts extra-nationales dans ce territoire.

Aujourd'hui, on peut voir leurs idées dans des manifestations et différents médias; je me pose alors la question: Mais de quelle indépendance parle t-on? 

Est-ce vraiment pour le bien des Guyanais et des générations à venir? Ou s'agit-t'il d'économiser des milliards d'euros d'investissements dans les structures publiques pour l'état tout en permettant la mise en place d'une gouvernance de façade qui assouplirait les lois minières et permettrait aux capitaux internationaux de venir extraire l'or et piller tranquillement le pays sans devoir respecter les lois françaises et européennes? 

La Guyane n'aurait t'elle pas intérêt dans tous les cas, qu'elle souhaite vraiment une indépendance ou non, d'imposer à l'état de donner les vrais chiffres

de l'INSEE sur le nombre des habitants en Guyane, de construire toutes les structures publiques promises depuis des décennies (hôpitaux, écoles, musées,

routes neuves, train ou tramway...), de faire sauter toute ostracisme, de faire disparaître l'octroie de mer et d'imposer des prix respectables sur les produits vendus par les commerçants locaux?

 

A mon sens c'est à partir du moment où l'état tiendra ses promesses: finançait et construire ce qui est due et promis aux Guyanais, qu'alors nous pourrons

voir si le désir d'indépendance est réel ou s'il est la conséquence des manipulations, du racisme républicain et des mensonges d'état.

Simplement, lorsque je parle de Décolonialisme spirituel, je ne parle pas juste d'obliger l'état avec des associations et avocats à tenir ses promesses.

Je crois sincèrement aussi que nous devons mener un acte d'exorcisme de société, une catharsis permettant de distinguer clairement le bien du mal.

Avec un objectif simple: défricher le destin des régions et des nations, car si le laïcisme veut nous faire croire que la vie s'arrête à la tombe,

nous chrétiens savons clairement que l'âme de l'Homme est éternelle et que son passage sur terre est une évaluation.

Nous savons que lors du jugement dernier chaque âme se verra attribué le lieu où elle passera l'éternité: soit dans le lac de la souffrance éternelle;

soit ressuscité dans le bonheur, uni à Dieu et habitant immortel de la Création renouvelée. 

  Il faut savoir que dans les Dom-Toms la présence de nombreuses sectes est délétère et dangereuse, elle est un frein au développement des régions mais surtout

à l'accès au Royaume de Cieux promis dans les Saintes Écritures. Ainsi nous devons militer et porter notre croix pour libérer un maximum de frères et de soeurs de l'emprise des mensonges du monde et des fausses doctrines séductrices.

( Voici par exemple trois documents officiels qui vous exposent d'une part la réalité scandaleuse du terrain spirituelo-politique des caraïbes mais aussi la grande diversité des religions proches des sectes qui participent à la manipulation des peuples:

La corruption des politiques martiniquais, Franc-maçonnerie exposée  +  Néo-protestantisme Créole et Secte  +  Les religions aux antilles françaises  )

( Je n'évoque pas ici la corruption de certains diocèses catholiques avec les sectes rose-croix et l'ordre satanique de malte qui est un tel scandale

et une révélation si importante que je consacrerai un article particulier à ce sujet. Je dirais simplement que la corruption de notre Eglise catholique a pour but

de salir l'image des hommes et femmes de foi et d'éloigner les Humains de la Bible et du chemin de l'immortalité.).

Le sujet des sectes et pratiques magico-religieuses en France et dans les antilles est d'une telle densité que faire la lumière dessus est un acte d'exorcisme en soi.

J'ai compris l'importance du lien entre art, culture, spiritualité et politique lorsque mon esprit à pu assembler les histoires des peuples en UNE HISTOIRE

de l'Homme. Lors de mes voyages en Amérique et à Madagascar je me suis intéressé aux spiritualités traditionnelles. Notamment, car j'avais été écoeuré

en lisant des archives sur des pseudo-prêtres colons "Jésuites" et leurs techniques coloniales abjectent, je souhaitais faire la lumière sur les pratiques de chacun.

Quelle était la réalité et l'impact sur l'esprit humain de la Doctrine de Jésus-Christ, les dérives de l'église catholique lors de la colonisation,

l'influence des banquiers et commerçants juifs et les pratiques magico-religieuses des peuples colonisés? 

Ainsi dés 2012, j'ai oeuvré à rencontrer des chamans de plusieurs cultures je cherchais à comprendre l'articulation des cultures et des mondes spirituels.

Plus je menais mes recherches sérieuses à travers le monde, plus on me refusait des expositions du fait que j'étudiais ce lien entre Spiritualité et Création.

Parallèlement on valorisait toutes sortes d'artistes qui avaient simplement lu un livre à ce sujet avec des qualificatifs comme "Dj Shaman", "Shaman du Design", "Sculpteur chamanique" et j'en passe... C'est aussi un sujet dont je pourrais parler longuement qui met en relief la différence entre les spiritualités

du chaos valorisés par nos cultures babyloniennes et celles de l'Harmonie que notre société rejette avec virulence.

La même année je profite du programme d'échange pour effectuer semestre d'étude au Columbia College de Chicago. 

J'intègre la section "Interdisciplinary Arts" qui permet d'aborder différentes pratiques artistiques de façon transversale. J'y étudierai l'art mosaïque,

la stratégie de la performance, la peinture, l'animation 3D et l'histoire du yoga dans la culture "new-âge" américaine.  Je profiterai de cette année

pour découvrir le Nouveau-Mexique et des traces de la culture Pueblo avec une collègue artiste.

À partir de 2013, mes expositions et performances abordent frontalement le domaine du sacré, du politique et l'ère post-coloniale. Je démarre l'invention

de ce métier d'Urban Shaman, je choisis d'abord ce terme pour évoquer une nouvelle forme de prêtrise en dehors des institutions, qui, plus que de faire le beau de l'artiste, cherche la beauté divine en participant à la construction du lien entre l'Homme et ce qu'il a de purement spirituel.

 

J'éprouve de nombreuses pratiques artistiques comme la peinture, la sculpture, la danse et la performance comme un Art Total.

Je suis traversée par de nombreuses questions qui connectent le spirituel et l'artistique:

 

Pourquoi Klein, Beuys, Munch, Michel-Ange, Newman, Lachapelle auraient le droit de questionner le monde spirituel et pas moi?

Qui décide de la noblesse de telle ou telle pratique artistique ?

Pourquoi ce terme des "Arts Plastiques" est vulgaire à mes yeux ?

Pour qui et pour quoi je crée ? A qui je voue mes dons artistiques (un système, moi-même, l'autre, Dieu...) ?

Où mon travail peut-il créer une place plutôt que la prendre ( galerie, rue, réunions politiques, forêts...) ?

Qu'est-ce qui différencie un rite païen de la danse du Roi David pour le Dieu vivant ?

Quelle est la différence entre foi, miracle et magie ? 

Pourquoi l'Amour et le Christ ont tellement était écarté du domaine artistique "contemporain" ?

Quelle est réellement la force spirituelle que sert le monde "l'Art contemporain" et sa spéculation financière ?

Quand est-ce que je produis une sculpture amenant à la contemplation et quand est-ce que je produis une idole ?

Quelle est la différence entre un objet qui sert le sacré et un objet qui s'enorgueillit d'être sacré ?

Qu'est-ce qui différencie un visionnaire d'un prophète ?

Qu'ai-je bibliquement le droit de créer ou non pour plaire à Dieu ?

Quel est aujourd'hui le destin de l'Art français ?

Ma vie d'artiste pour d'évidentes raisons économiques, mais aussi un certain plaisir, s'accompagne d'une vie de médiateur culturel.

De 2012 à 2014, je travail au Palais de Tokyo avec des missions variées:

Visite Guidée, Médiation créative, Workshop, Visite V.IP, Atelier familiale, Visite Meetic, Ateliers hors les murs (Ulyss, Cliss, ZEP ++) 

En 2015, je décide d'affermir mon cap d'activiste spirituel avec une performance dangereuse: La Danse des égos.

Je prends un poste de cadre pour intervenir de façon politique dans l'ingénieurerie culturelle d'un projet muséologique qui doit encore aujourd'hui attirer toute notre attention. Je deviens alors: Responsable de la médiation, de la pédagogie et de l'analyse des publics du projet du Musée des Cultures et des Mémoires de Guyane. Mon action visant à questionner la précarité et la fragilité des fraternités ésotériques coloniales en Guyane française me vaudra

une arrestation, un internement, des menaces de morts, un article sous-entendant que j'étais armée et tout un packaging de stigmates sociales.

J'apprends vraiment alors ce qu'est de porter ma croix.

Sont-ils Hébreux? Moi aussi, je le suis. Sont-ils Israélites? Moi aussi. Sont-ils de la postérité d'Abraham? Moi aussi. Sont-ils ministres du Christ?

—Ah! je vais parler en homme hors de sens: — je le suis plus qu'eux: bien plus qu'eux par les travaux, bien plus par les coups,

infiniment plus par les emprisonnements; souvent j'ai vu de près la mort; cinq fois j'ai reçu des Juifs quarante coups de fouet moins un; trois fois,

j'ai été battu de verges; une fois j'ai été lapidé; trois fois j'ai fait naufrage; j'ai passé un jour et une nuit dans l'abîme.

2 Corinthiens 11:22 -

Le principe de cette performance était simple: Intégrer une équipe qui monte un projet et questionner ce projet sous l'angle de la Vérité historique,

de la Liberté, de l'Amour du prochain et de la Justice que Dieu souhaite voir naître dans les territoires français d'outre-mer. Il s'agissait de placer la pierre d'angle d'une nouvelle ère au coeur d'un projet qui pouvait soit devenir l'incarnation du "mensonge colonial" ou au contraire la porte ouverte vers

une réconciliation des peuples et des histoires dans le monde Antillais. Ce projet est l'unique musée français de bonne taille d'Amérique Centrale

le champ des possibles intellectuelles, culturelles, artistiques, scientifiques et spirituelles que peut offrir ce genre de projet est extraordinaire.

Simplement, ce qui détermine si l'axe pris par ce projet monte vers le meilleur ou descend vers le pire est évidemment l'esprit qui anime ce chantier.

Ce genre de projet dérange sur place les militaires, les vieilles idéologies racistes, les politiciens locaux qui n'ont jamais bâti le moindre musée

de cette envergure et ne savent pas le faire... Cela dérange les vieilles mentalités car c'est d'une part un appel au respect de la science, de l'art ,

de la nature et de l'histoire sur une terre qui a un passé d'esclavage, de recherche d'or et d'extraction minière, de bagne et fantasme de colonisation spatiale.

Mais cela dérange aussi les sectes locales et l'église... Pourquoi me direz-vous?

Au sujet de l'église cela pourrait être l'occasion positive d'exposer à quel point la Guyane doit la construction de la plupart de ces villages à l'église catholique, mais aussi exposer des archives religieuses incroyables dans le bien comme le mal. Par exemple avec la communauté de Soeur Anne-Marie Javouhey à Mana qui oeuvrait à l'émancipation par l'évangélisation en souhaitant que l'état affranchisse les esclaves; mais aussi avec l'horrible fraternité des jésuites où vous verriez des écrits justifiant l'importation de rhum pour rendre alcoolique les amérindiens de la part de soi-disant prêtres...

Au sujet des sectes, prenons le cas de certaines branches du "Kémitisme" qui cherchent à faire croire à la plupart des descendants Afro-Caribéens

qu'ils seraient tous des héritiers de l'égypte ancienne et devraient pratiquer la sorcellerie, l'alchimie et l'idolatrerie comme les égyptiens.

Si les Guyanais voient par exemple une carte des migrations et du commerce d'esclaves et découvrent qu'ils sont en fait originaires du Ghana, du Bénin

ou du Nigeria alors c'est sur les cultures et civilisations ancestrales de ces pays qu'ils vont désirer se cultiver oubliant donc ces modes américaines

importés par la diaspora afro-maçonnique. Et très honnêtement si des Guyanais souhaitent vraiment retrouver des cultes et pratiques ancestrales,

il me semble plus logique qu'ils cherchent au sujet d'une Histoire véritable plutôt que d'un patchwork théorique qui fantasme l'égypte de façon

aussi malsaine qu'ont pu le faire les "bonapartistes".

 

Car créer un musée public qui afficherait clairement l'Histoire des peuples, les mouvements religieux, les origines du peuple (européennes, africaines, asiatiques, indiennes...), les pratiques artistiques passées et actuelles, les beautés de la nature, les recherches scientifiques c'est éminemment politique!

Symboliquement, c'est placer dans le coeur d'une des villes les plus importantes de Guyane la Culture, chose qui serait salutaire pour tout le monde

mais que les veilles mentalités coloniales haïssent préférant fantasmer sur une population d'esclave 2.0.

Si le monde de la culture accepte et encense des artistes ayant des démarches pouvant être vraiment incroyable pour le commun des gens,

il tolère ces démarches si elle ne s'approche pas d'une vocation de prêtrise, de prophétisme ou d'exorcisme. Par exemple les galeries d'arts invitent

Gianni Moti qui prend la place d‘un membre de l‘ONU et parle à la place d‘un représentant indonésien en faveur des minorités ethniques.

Ce même artiste organise en Colombie, une manifestation nationale de télépathie pour inciter le Président Samper à démissionner.

Ou bien encore ce même artiste revendique des tornades qu'il aurait lui-même déclenchait. Tout cela semble "géniale" au monde de l'art car au fond

c'est un peu anecdotique et l'emprunte Suisse de l'artiste détend les passions et les crispassions possibles.

Cependant, le monde de l'art a lui aussi ses temporalités. Par exemple on peut voir que les discours politiques de Joseph Beuys qui se disait chaman et proposait de créer un mouvement politique qui prend en compte tout le vivant, et pas uniquement l'homme, a été reçu avec étonnement au début;

puis les politiques l'on virait de son propre parti, pour aujourd'hui voir des partis écologiques partout dans le monde ou presque.

 

Lorsqu'en 1977 Orlan fait sa performance -Le baiser de l'Artiste- devant la FIAC il y a plusieurs phases de lecture à cette oeuvre. 

Pour 5 francs vous pouviez soit mettre un cierge à l'image de la madone version Orlan ou embrasser l'artiste à pleine bouche. Elle choquera de nombreuses personnes. Elle sera renvoyé de son établissement scolaire et devra essuyer plusieurs rejets avant que cette démarche soit regardée avec le recul nécessaire.

Dans un registre plus politisé Piotr Pavlensky qui questionne frontalement le système a déjà été interné ou mise en garde à vue.

Son registre est électrisant, sa performance "Séparation" dénonce l'internement comme une arme politique d'état, ensuite il fait de bruler une banque

en plein centre de Paris. Récemment il arrive à annuler la participation d'un politique à des élections municipales en balançant sur sa vie privée.

Ces pratiques sont des oeuvres qui modifient et agrandissent nos perceptions sur les possibilités des artistes et la critique du système.

 

Je comprends qu'une performance où j'intègre une équipe de muséologue dans une colonie franco-amazonienne militaro-spatiale, où je m'invite

dans la vie privée d'hommes à des postes politiques et dénonce les pratiques racistes et ésotériques de la république peut sembler choquante ou déplacé pour l'intelligentsia. Particulièrement car cela se fait loin du tout Paris bourgeois mais aussi car cet acte dit:

- L'Artiste peut dire non à cette république corrompue et son armée du veau d'or! - 

Et pourtant exorciser l'état de ces pratiques racistes et scandaleuses est une nécessité absolue comme la vague de dénonciation #Metoo avait un sens. 

Et contrairement à ce que le monde veut faire croire aux artistes, avec la foi nous pouvons abattre Goliath d'un seul caillou entre les yeux, faire tomber

ce géant et lui trancher la tête.

Faire une performance socio-politique qui s'attaque à la franc-maçonnerie en France est un tabou absolu, c'est pour vous dire à quel point nous ne sommes plus en démocratie depuis bien longtemps. Même les prêtres du 19ème siècle critiquaient ouvertement ces sectes, droit qu'il semblerait on refuse aujourd'hui

aux artistes sous peine d'être accusé de "conspirationisme". Mon action a été complètement rejetée, dénaturée, mentie ou travesti par des gens

qui n'étaient même pas en Guyane à ce moment. Puis j'ai été doucement écarté du microcosme de l'art contemporain parisien.

 

Cela me rappelle une nouvelle fois à mon rêve d'enfance, pour moi l'artiste doit être un vecteur de changement de société non pas un amuseur de galerie,

un bonimenteur ou un décorateur de luxe. Je vous souhaite vraiment de devenir ce que votre coeur vous appelle à être...

 

Cette scission que je sentais entre moi et le microcosme de l'art parisien était-il dû à mes origines sociales, culturelles, ethniques, à ma morale,

à l'influence des fraternités opportunistes dans ce milieu, à mon désir toujours plus puissant de vérité spirituelle et intellectuelle,

à mes sujets hors normes comme le chamanisme et le Christ? Le monde me rejetait-il car je cherchais à m'unir à Dieu? 

N'était-ce qu'une période d'éloignement ou un divorce définitif? Nous verrons bien!

En 2016, suite à une grande exigence morale envers moi-même et malgré de nombreux projets que j'avais mené avec ce qu'on appelle les publics éloignés; J'ai besoin de prendre un temps de repentance des mondanités de ce monde culturel, j'oeuvre bénévolement pour une association à la Z.U.P

de Lens, puis offre de mon temps à une association amérindienne et dénonce publiquement à Paris le projet minier "Montagne d'or".

 

Ma dénonciation des fraternités coloniales et mon engagement contre le projet Montagne d'Or créera des répercussions dans mes recherches de travail

ou mes recherches d'expositions, bien que j'ai un très bon Curriculum Vitae mon caractère de Lion indomptable fait peur à certains.

 

Mis à part, je trouve dans une situation difficile un bonheur à vivre une certaine forme de pauvreté, alors mes oeuvres deviennent une nécessité plus vitale encore et je m'éloigne réellement du consumérisme.

Argile, Lumière et Prêtrise

Cependant en 2017, au fur à mesures des peintures, des pochoirs et des graffitis la pratique sculpturale me manque. 

Je souhaite aussi développer mon art de façon transversale aussi bien dans la pratique purement artistique qu'en discussion avec l'artisanat et le design.

Je me dis que rien n'est mieux pour cela que d'améliorer mes techniques et connaissances d'un art biblique et inter-culturel par excellence, la glaise: 

l'art céramique.

Après avoir remporté des bourses et prix, je décide de sortir de ma métanoïa lithurgique et d'aborder de nouveau les institutions notamment car je souhaite m'immerger de nouveau dans ma culture française et sa conception de l'art céramique.

J'intègre en 2018 l'Institut Européen des Arts Céramiques de Guebwiller, c'est un lieu de formation de bon niveau où j'apprends de nombreuses choses

et trouve un bonheur infini à vivre recouvert d'agile du soir au matin. L'institut de formation me permet d'apprendre le tournage, l'art du sigilé, l'émaillage, l'estampage, le travail de la porcelaine, du grès, une grande variété de cuisson, la création de ma propre pâte d'argile et de nombreuses choses fort utiles. L'argile permet d'appréhender le pérenne et l'éphémère, la chimie et les sciences naturelles, le 2D comme le 3D, le monde de l'Artisanat,

du Design et celui des Beaux-Arts.

Cette expérience professionnelle au sein de l'institut de formation et l'exposition pour les fêtes de la nativité m'ont permis de questionner de nombreuses structures théologiques au sein des Dominicains d'Alsace, une ancienne église devenue lieu culturel: L'idolatrerie, la représentation dans le catholicisme, l'influence et les nombreuses limites des fraternités de compagnonnage dans l'artisanat français, l'iconoclasme et l'importance de re-sacraliser les lieux cultes transformés en lieu de divertissement profane. 

L'année 2019 à Lens, sera pour moi l'année d'un profond affinement de mon art, un travail d'élégation, de purification, dans cette ville d'où je suis originaire. Je décide de plonger dans la bible, je détruis de nombreuses de mes oeuvres qui peuvent se rapprocher "d'idôles" ou "d'objets magiques". 

Je démarre aussi un travail d'abstraction et d'expressionnisme fusionnant graffiti et peinture à l'huile. Je vis ce qu'on appelle dans le christianisme:

Naître de nouveau. Je finis l'année avec l'exposition Rendez-vous! à la suite de la galerie d'antiquités familiales qui pour le coup devient un espace d'exposition d'oeuvres nouvelles avec un souffle de Street-Art et des inspirations Amazoniennes.

Je constate que le terme Urban Shaman peut pour certain être "mal interpréter", je réfléchis donc à un terme plus juste.

Pour l'année 2020, je retourne en Guyane pour prêcher, péleriner, onctionner, bénir, exorciser, enseigner, créer, aimer, apprendre, découvrir, donner...

Et je deviens alors Prêtre de Rue!

Je vois se dessiner très clairement dans le monde de l'art, en particulier dans la culture Hip-Hop toujours précurseuses des vrais sujets, deux voix:

la voix de l'honneur et de la vérité et la voix de la consommation et du système. Ceux qui connaissent la vérité sur cette immense combat spirituel

entre "nouvel ordre mondial" et les élus de Dieu comprendront alors mon profond besoin de liberté de parole, de liberté de penser et de vérité.

Au travers tout ce périple, pour moi la Guyane est devenue la possibilité d'ôter ce masque blanc pour laisser apparaître un visage de pure lumière

et battre un coeur multicolore au sang rouge et flamboyant de l'Amour du Christ. J'ai libéré mon métissage et mon amour de la diversité

dans tout ce qu'ils ont de merveilleux. Je crois avoir été profondément violenter par de nombreuses discussions racistes contre les arabes et les kabyles

que j'ai pu entendre en France, le fait d'évoluer dans un territoire avec autant de peuples m'offre la possibilité de mieux vivre mon héritage multi-ethnique. J'aurais pu me sentir de nouveau étranger en terre étrangère, pourtant je me sens bien chez moi. Cette période de ma vie réponds à une double quête: 

celle de mes origines Européennes qui voulaient réparer et construire et celle de mes origines Africaines qui voulaient être respectés,

s'émanciper et être aimé sincèrement pour ceux qu'elles sont. Je crois en réalité que beaucoup de métis issus de l'histoire coloniale ont à coeur d'améliorer le monde et dispose d'atouts indéniables pour réussir cela.

J'avoue cependant que je ne m'attendais pas au fait qu'un homme blanc qui n'est pas dans un rapport de domination militaire ou politique est souvent

rejeté par les populations locales en Guyane, aussi bien les blanc-peyis, que les indiens, les hmongs, les chinois ou les noirs:

"Mais que veut cet homme blanc qui n'est pas un porte-monnaie sur patte, qui n'a pas de travail à nous donner et qui semble respecter notre intégrité humaine plus que nous même qui nous sommes vendus au système colonial et/ou avons abandonnés la lutte?"

Il y a aussi beaucoup de noirs qui collaborent avec les politiques coloniales pour se faire de l'argent ou les dents sur le dos de leurs frères et soeurs, j'imagine comme en Afrique. Cela est insoutenable à mes yeux mais c'est une réalité qu'on ne doit pas ignorer. Comme certains chefs de villages vendaient des esclaves noirs pour le commerce triangulaire, comme le contre-maître noir-clair qui surveillait les noirs-foncés sur la plantation,

la forme moderne et capitaliste du noir qui exploite son frère noir existe aussi. Au même titre d'ailleurs que des blancs exploitent des blancs,

ou des chinois exploitent d'autres chinois...

C'est comme si le fait de ne pas vouloir jouer le jeu du néo-colonialisme reconfigurait les stéréotypes et faisait exploser l'inertie identitaire, 

car je suis cette génération qui ne joue pas le jeu: Nous sonnons le glas du théâtre colonial avec bonheur et joie! 

Dans ce théâtre politique qu'est la France, il suffit qu'un Homme soutenu de Dieu arrête l'hypocrisie du cinéma racial pour être en Vérité,

alors il dispose, grâce à son courage, tout l'espace politique de façon nouvelle, puissante est la sincérité de nos actes! 

Je suis donc artiste au service du Christ et j'avance dans la réalisation de bonnes oeuvres. Si je suis une oeuvre c'est que je suis celle du Créateur

et je l'invite à me travailler autant qu'il le souhaite pour me rendre parfait, selon sa volonté. Si je suis un outil c'est pour réaliser l'oeuvre du Créateur

sur sa création. Et si mon oeuvre vous parle c'est que c'est Dieu qui vous sourit à travers elle.

Auprés de Dieu

Auprès de Dieu

Il me semble important de témoigner de cet aspect de ma vie, car en tant qu'artiste lorsque j'ai démarré ma vocation,

je m'imaginais vraiment un monde de l'art révolutionnaire qui inventait demain et aidait la veuve et l'orphelin! J'ai bien sûr eu quelques belles rencontres

je suis vite sorti des illusions, la réalité était plus "fêtes, discours prétentieux et petits fours lors des vernissages". J'avais cette pureté de la jeunesse

qu'on doit cultiver, qui m'amenait à croire que l'artiste lorsqu'il oeuvre est connecté à une force supérieure, à Dieu. Force est de constater

que cette conception spiritualiste de l'artiste n'était pas celle de la dernière période dite "Art contemporain", période que nous venons de franchir.

Selon mon analyse nous ouvrons une nouvelle page fraîche de l'Histoire de l'art qui mettra en oeuvre les luttes prophétisaient dans la bible

entre les serviteurs de Dieu et les esclaves de la "bête".

C'est avec bonheur que nous allons voir apparaître de nettes différences entre ceux qui oeuvrent à la salvation des âmes et ceux qui oeuvrent

pour l'argent, ceux qui produisent des oeuvres guidant vers l'élévation de nos espoirs et ceux qui veulent plonger le public dans un matérialisme forcené. Ceux qui flattent la chair et ceux qui dénude l'esprit, ceux qui attisent les passions et ceux qui les crucifient, ceux qui offrent le beau et ceux qui cherchent

le chaos, ceux qui sont libres et ceux qui évoquent de liberté, ceux qui sont idolâtres et ceux qui proposent une rencontre intime avec Dieu,

ceux qui aiment à travers leur art et ceux qui ont l'art des illusions, ceux qui rempliront de discours complexes des oeuvres vides et ceux qui se remplissent les coeurs via la justesse de leur création. 

Une lumineuse anecdote

Avant de commencer à parler de mon lien avec Dieu, je vais vous exposer l'histoire vraie d'un artiste qu'on nommera du pseudo Balthazar par respect

de sa vie privée. Cette histoire de vie, selon moi, expose bien comment certains acteurs du monde de l'art persécutent les gens qui cherchent le Divin

et le Bien. Cela permet de comprendre à quel point le lien entre l'artiste et Dieu est rejeté par les officiels parisiens de la génération précédente.

Je vais vous raconter une anecdote qui expose un drame de la vie qui peut arriver à certains jeunes artistes sincères.

J'ai rencontré cette connaissance aux Beaux-Arts de Paris, Balthazar est un jeune homme vraiment agréable, un peu prétentieux dans sa jeunesse

mais comme la jeunesse produit chez l'homme cet élan qui, bien qu'un peu ridicule, est aussi beau dans sa vivacité naturelle.

Ce garçon venait de ce qu'on peut appeler une bonne famille. Il était touche à tout, s'intéressait à l'installation et la sculpture en particulier.

Il aimait la littérature et il disposait d'un certain charme, une présence agréable qui caractérise parfois des jeunes adultes lors de leur entrée

dans des écoles prestigieuses. 

Un jour je l'ai vu participer à une exposition collective avec d'autres artistes de son atelier aux Beaux-Arts. Je me rappelle même de son oeuvre

qui avait une certaine beauté d'ailleurs. C'était comme un tapis de grande taille composé d'une centaine de morceaux de glaise presque similaire,

de l'argile qu'on aurait pressée dans sa main puis laisser sécher avec l'emprunte de la main. Il recevait pour l'occasion un spécialiste de l'art célèbre

qui allait commenter les différentes oeuvres de l'exposition. Après cet évènement, au fur et à mesure des mois et des années, j'ai observé son caractère

et son physique se transformer. 

Je l'ai vu comme "perdre sa foi". Il a fait une autre exposition où l'on ne pouvait pas vraiment rentrer dans la pièce la journée, on ne pouvait que l'observait

par la fenêtre dans une semi-obscurité en train de souder des choses. Puis quelque temps après je l'ai revu et il m'a dit qu'il allait arrêter les Beaux-Arts

et entrer en école de médecine pour s'orienter sur des missions pour aller aider les malades dans les pays pauvres. Plus tard encore, j'apprends qu'il a été interné. Lorsque je le vois ré-apparaître aux beaux-arts il est très différent, il a pris beaucoup de poids, peut-être à cause d'une médication.

Je n'ai jamais su pourquoi on l'avait interné, c'était intriguant car il n'avait jamais eu d'actes de "folie" en ma présence.

Je l'ai vu continuer les Beaux-Arts et mettre de côté son projet de devenir médecin. Un jour, lors d'un évènement dans les Beaux-Arts nous passions

un moment agréable avec des anciens de son atelier. Je bois tranquillement un verre de vin, puis je consulte un livret sur cette fameuse exposition

d'il y a quelques années où il avait présenté son tapis d'argile modelé, avant qu'il soit accusé de folie. Et là, je vois que je connais ce fameux spécialiste

de l'art qui était venu parler de leurs oeuvres, une éminence grise très connue dans le monde l'art, qui a travaillé à des postes convoités par le "Tout-Paris".

Des quelques discussions que nous avions eues sur l'art avec ce "ponte", j'avais perçu que sa façon de parler du monde relevé de philosophies ésotériques,

je me rappelle de cette phrase qu'il a prononcé et qui m'a fait penser aux hérésies que pourrait évoquer un templier ou un maçon: 

"Nous avons fait une acuponcture généralisée de tous les points sacrés du monde".

Et là, allait savoir pourquoi, nous en venons à discuter avec une collègue artiste de l'atelier de Balthazar de ce qu'avait dit ce ponte de l'art contemporain

à notre jeune artisteOn me raconte que lors de ce rendez-vous chacun des artistes avait parlé de son oeuvre puis avait ensuite "subit" la critique de son oeuvre. Balthazar a dit qu'il avait cherché à créer une oeuvre qui était inspirée de son lien au Divin, d'inspirer une trace de l'acte créateur à la glaise, 

ce à quoi notre fameux "ponte" de l'art lui avait répondu qu'il n'était pas en mesure, ni n'avait l'expérience suffisante pour se permettre de dire

qu'il était inspiré de Dieu.

Pour moi apprendre cela fut comme une lumière, je comprenais comment il avait petit à petit décroché de ses idéaux et peut-être selon son entourage

d'un équilibre mental. Comment ce fonctionnaire de l'art était venu briser sa foi en une seule critique et l'impact hypothétique de cette rencontre

dans la psychologique de ce jeune artiste. Car qu'on ne le cache pas, il n'est pas anodin dans les grandes écoles d'arts qu'on pousse certains artistes doués et peut-être trop sensibles à décrocher avant la fin de leurs études. L'écrémage du monde l'art démarre très tôt. Cela peut, comme il fut un temp certains bizutages, être emprunt d'une violence psychique non quantifiable pour quelqu'un qui n'a pas côtoyé ces institutions ou ce monde.

Cela nous pose la question: En quoi un critique d'art, un gestionnaire de musée, un commissaire d'exposition et tout ce genre de personnes serait crédités 

ou non dire qui a le droit d'être inspiré de Dieu? Où bien qui a le droit d'interdire la recherche Dieu pour une raison de mode ou de tendance?

Cette anecdote se finit d'une façon particulière, quelques années après avoir été diplômé des Beaux-Arts, c'était en 2015, je suis invité à un vernissage

et je vois cet artiste, Balthazar. C'est alors qu'il me raconte qu'il a été interné de nombreuses fois. Il me dit cela sur un ton ironique mais je vois comme

les médicaments l'abime et comme ce jeune homme idéaliste a été broyé par son environnement. Il conclut notre discussion en me disant qu'il écrit un livre où il raconte comment sa famille l'a fait interner pendant plusieurs années contre sa volonté.

Je vais être honnête avec vous, je ne sais pas si ce jeune homme a vraiment eu des accès de folies, car je n'en ai jamais vu quand j'étais avec lui.

Comme c'était un homme et un artiste, j'ai peut-être manqué de l'humilité qui aurait été nécessaire à ce moment-là pour lui témoigner ma profonde compassion. J'espère aujourd'hui qu'il a pris un chemin plein de vie et de liberté.

Je sais comme notre monde aime s'attaquer au coeur pur et aux jeunes pleins d'espoir, que le monde de l'art parisien est comme un requin qui se déguise en dauphin mais qui ne souhaite que vous dévorer. Enfin de nombreuses familles aujourd'hui préfèrent interner et mettre sous médications leurs enfants plutôt qu'essayer de régler les problèmes ensemble en s'adressant directement à Dieu et notre Seigneur Jésus-Christ, ou, en obéissant

aux Saintes-Ecritures. Je ne dis pas que Dieu soignera et exaucera toutes les prières ou que tous les gens qui sont accusés de troubles psychiques

ont un problème spirituel, ce que je dis c'est que notre monde dénonce parfois des maladies psychiques quand il s'agit de problèmes spirituels.

Lorsqu'on lit la Bible on voit bien que certaines personnes accusées de folie étaient simplement possédées, et, aussi dans un autre registre, on a accusé

des prophètes clairvoyants d'être des fous car il dérangeait les "pouvoirs publics". Par exemple les prophètes Jérémie et Esaïe et le messie Yehoshuah appelait Jésus ont été accusés de folie soit par des prêtres corrompus, des politiques, des peuples pêcheurs ou des militaires.

 

Aujourd'hui, je suis absolument certain que Dieu peut transformer le coeur et l'esprit des familles dans la sainteté pour toutes celles qui le cherchent

dans l'Amour et la Vérité. Plutôt que de vous confier en l'homme, confier vous en Dieu, il est le roc et la fondation de l'univers.

Jésus libère un possédé qui était considérait comme fou par les gens du village, il devient témoin

-

Ils abordèrent au pays des Géraséniens, qui est en face de la Galilée. Comme Jésus descendait à terre, un homme de la ville,

qui était possédé par des démons, vint à sa rencontre. Depuis assez longtemps il ne mettait pas de vêtement et n’habitait pas dans une maison,

mais dans les tombeaux. Voyant Jésus, il poussa des cris, tomba à ses pieds et dit d’une voix forte :

« Que me veux-tu, Jésus, Fils du Dieu très-haut ? Je t’en prie, ne me tourmente pas. »

En effet, Jésus commandait à l’esprit impur de sortir de cet homme, car l’esprit s’était emparé de lui bien des fois. On le gardait alors lié par des chaînes,

avec des entraves aux pieds, mais il rompait ses liens et le démon l’entraînait vers les endroits déserts.

Jésus lui demanda : « Quel est ton nom ? » Il répondit : « Légion ». En effet, beaucoup de démons étaient entrés en lui. Et ces démons suppliaient Jésus

de ne pas leur ordonner de s’en aller dans l’abîme. Or, il y avait là un troupeau de porcs assez important qui cherchait sa nourriture sur la colline.

Les démons supplièrent Jésus de leur permettre d’entrer dans ces porcs, et il le leur permit. Ils sortirent de l’homme et ils entrèrent dans les porcs.

Du haut de la falaise, le troupeau se précipita dans le lac et s’y noya.

Voyant ce qui s’était passé, les gardiens du troupeau prirent la fuite ; ils annoncèrent la nouvelle dans la ville et dans la campagne,

et les gens sortirent pour voir ce qui s’était passé. Arrivés auprès de Jésus, ils trouvèrent l’homme que les démons avaient quitté ; il était assis, habillé,

et revenu à la raison, aux pieds de Jésus. Et ils furent saisis de crainte. Ceux qui avaient vu leur rapportèrent comment le possédé avait été sauvé.

Alors toute la population du territoire des Géraséniens demanda à Jésus de partir de chez eux, parce qu’ils étaient en proie à une grande crainte.

Jésus remonta dans la barque et s’en retourna. L’homme que les démons avaient quitté lui demandait de pouvoir être avec lui.

Mais Jésus le renvoya en disant : « Retourne chez toi et raconte tout ce que Dieu a fait pour toi. »

Alors cet homme partit proclamer dans la ville entière tout ce que Jésus avait fait pour lui.

Evangile de Luc 8:26

La famille incrédule de Jésus qui l'accusait d'être fou

-

Il en établit douze pour les avoir avec lui et pour les envoyer prêcher, avec le pouvoir de guérir les maladies et de chasser les démons.

A Simon il donna le surnom de Pierre; puis il choisit Jacques, fils de Zébédée, et Jean, frère de Jacques, auxquels il donna le surnom de Boanergès,

c'est-à-dire, fils du tonnerre; André, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques fils d'Alphée, Thaddée, Simon le Zélé, et Judas Iscariote, qui le trahit. Ils revinrent à la maison, et la foule s'y assembla de nouveau, de sorte qu'ils ne pouvaient pas même prendre leur repas.

Ce que ses parents ayant appris, ils vinrent pour se saisir de lui, car ils disaient: "Il est fou".

Evangile de Marc 3:14

Du mystère chrétien à ses révélations

Il existe dans la foi chrétienne un paradoxe délicieux, nous sommes les disciples d'une religion révélée où tout est disponible à la lecture dans la bible.

Cependant l'entrée réelle dans le service de Dieu se fait à travers l'opération du Saint-Esprit, ainsi la lecture, la prière et la présence du Saint-Esprit

en vous agissent de façon à vous révéler selon votre culture et votre propre vie des mystères de Dieu comme la Grâce, l'accès à la vie éternelle

ou bien encore la Sainte Communion qui nous nettoie du péché. 

J'ai toujours eu une fibre mystique. Enfant, c'est moi qui ai demandé à être baptisé, puis j'ai cheminé jusqu'à la communion pendant l'adolescence.

J'aimais beaucoup les temps de prières collectives, les chants, les chantiers, les vacances entre jeunes chrétiens, la lecture des évangiles, 

savoir qu'un être humain sur terre avait été si bon et si honnête qu'il avait ressuscité à la vue de tous et fut élevé comme Roi de l'univers.

Quel bonheur c'était de savoir que Dieu s'était incarné parmi nous! Qu'il l'avait fait parmi les pauvres, qu'il était venu en paix pour nous sauver

de notre "animalité-humaine" si condamnable. Lorsque nous lisions les passages de la vie du Messie, je me rappelle que je trouvais du sens à la vie.

Certains évènements m'avaient questionnés tout de même à l'aumônerie. Un des animateurs de l'aumônerie catholique m'avait fait remarquer

que j'avais des origines arabes, comme si c'était quelque chose de "mal", cela m'avait refroidi. Puis nous avions discuté avec des jeunes

avec qui je préparais ma communion et plus de la moitié me disait qu'ils faisaient cela pour les cadeaux donnés par la famille. Il est toujours particulier 

de voir qu'un jeune peut faire sa communion pour faire plaisir à sa famille, pour avoir des cadeaux ou pour se rapprocher de Dieu en Vérité. 

Entre les habitudes culturelles, la bienséance, l'attrait de la fête de communion, le désir réel d'ingurgiter le Christ en soi, les possibilités qui dirigent 

vers la première communion sont multiples.

Ensuite mon adolescence a été un lieu où j'ai bravé beaucoup d'interdits et le péché m'a attrapé sans que je me rende compte de ce qu'il était vraiment.

Je croyais que Dieu était la cause de tout, du Bien comme du mal, sans comprendre la différence entre lui, son oeuvre de Vie et la mauvaise oeuvre

du diable. Je ne comprenais pas du tout le sens des épreuves, de l'importance du choix, de la tristesse, de la souffrance, du mensonge, de la mort...

J'ai perdu des gens très proches de moi, des membres de ma famille et un très bon ami, certains évènements étaient intolérables pour le coeur humain.

J'en voulais à Dieu car j'avais certains désirs charnels considéraient comme péché rédhibitoire à l'accès au paradis. Je me rappelle avoir prié longtemps

pour qu'il me change et fasse disparaître le mal de moi. Était-ce la trace du péché que nous avons depuis Adam?

Etait-ce car je n'avais pas encore vécu spirituellement la nouvelle naissance? Était-ce une malédiction? Était-ce le diable qui avait choisi cette manière

pour oeuvrer à la perdition de mon âme? Était-ce l'épreuve de tentation que je devais affronter pour prouver mon amour à Dieu?

Était-ce dû à un traumatisme d'enfance? Et surtout il y avait t-il une solution?

Au début de l'âge adulte après quelques années à Paris, je me "déspiritualisais", je prenais du poids et il me manquait quelque chose moralement

et spirituellement. Je m'étais éloigné de l'église à cause de mes péchés pensant que Dieu ne m'aimait plus et me sentant "illégitime" à son amour.

Et pourtant, je savais que c'était l'église qui m'avait aussi fait découvrir le seul homme qui a donné sa vie pour moi, Jésus-Christ, et qui m'avait autant parlé du sens de l'Amour et du Bien.

En 2011, il m'est arrivé un évènement que je n'oublierai jamais, je participais à une résidence d'artiste avec les potières amérindiennes Kali'nas

de Mana en Guyane. Une nuit à Couachi, j'ai vécu une série de révélations. Suivant son prisme culturel on peut appeler cela un rêve, une vision,

une extase, une visitation, une transe ou je ne sais quoi encore; une chose est certaine ma vie spirituelle a reprit vie! Était-ce l'amour des potières,

l'histoire du lieu ou l'éblouissante puissance de la création en Amazonie qui ont participé de mon renouveau? 

Surement simplement le destin.

Lors d'un rêve, comme sortis d'un battle Hip-Hop, je vis apparaître tous les animaux du monde autour de moi. Il faisait sombre, nous étions dans la nature

et je sentais ces milliers d'animaux qui me regardaient de façon accusatrice. De cette assemblée, un Pélican blanc sorti pour m'attaquer à coup de bec.

Après m'avoir éprouvé et testé, en voyant que je ne souhaitais pas lui faire du mal, que je le respectais, il est venu se poser sur moi et faire unité avec moi. Je me suis réveillé de cet état comme d'une extase, avec une marque, une cicatrice qui ressemblait à une patte de pélican dans le bas du dos. 

Quelques jours plus tard notre pirogue a fait naufrage en bord de forêt près du Saut-Sabbat, sur le fleuve Mana.

Je suis allé visiter la forêt à proximité du gite où nous avions trouvé refuge. Nous sommes passés devant un très bel arbre qui m'a attiré.

Je suis revenu paisiblement le voir de mon propre grès. Et là j'ai vu, alors que j'étais bien éveillé, un ange dans la cime de l'arbre venant du ciel

et descendre le long d'un arbre! Cette ange ressemblait à un amérindien Kali'na. C'est un peu spécial à décrire car il était lumière et en même temps proche de notre humanité. C'est comme s'il était en kalembé, le tissu rouge traditionnel des amazoniens. J'étais surpris,

particulièrement car je n'avais jamais vu dans mon référentiel culturel un ange amérindien. Il avait des ailes de lumière et me regardait de face. 

Cela n'a pas été long, il m'a simplement regardé, donné une recommandation et il disparu: Méfie-toi des serpents qui sont aux racines de l'arbre! 

Certains voudront dire que c'était une "hallucination", que c'était dû au voyage en Amazonie ou au choc du naufrage,

peut-être même que c'est car j'aurais fumé un peu de kali. Je peux vous assurer que pour moi c'est la réalité! Encore aujourd'hui je n'oublierai jamais

cette apparition. J'en ai même tiré des oeuvres. Dirait-on aujourd'hui à Abraham ou Marie que les anges qu'ils ont vus était une hallucination? Peut-être... Mais alors ce serait une erreur. L'Histoire nous prouve que lorsque Dieu envoie ses anges c'est qu'il va agir dans nos vies d'une façon particulière.

La question pourrait se poser si c'était un ange obéissant à Dieu ou un ange déchu appelé démon. En y réfléchissant bien, l'ange a eu une parole simple allant dans le sens la bible: il m'a appelé à la vigilance. Ainsi donc il est pour moi un vrai signe divin, un ange saint.

Si lorsque j'ai vu cette apparition, je pensais que l'Ange parlait d'un danger immédiat de serpents qui pourraient être autour de l'arbre dans la forêt,

au fil du temps j'ai compris cette mise en garde de façon prophétique et pluriel. Je devais être vigilant aux veilles racines de l'arbre généalogique d'Adam,

aux racines du mal, aux familles qui oeuvre à bâtir la "synagogue de satan" comme en parle les prophéties. Cet ange me prévenait que des vieilles familles juives et païennes qui étaient contre l'acceptation des révélations messianiques de Jésus-Christ se comporteraient comme des serpents avec moi et ma famille en Christ.

A partir de ce jour, j'ai eu de nombreuses fois des séries de visions qui se multipliaient, au début avec une certaine incompréhension je l'avoue.

Était-ce mon métier d'artiste qui avait développé mon imaginaire à un point inédit ou de vraies visions au sens mystique?

J'ai lu tout ce que je trouvais au sujet des apparitions, des visions, j'ai même écrit à l'I.M.I (Institut Métapsychique International).

Puis j'ai demandé à des docteurs et à des anthropologues si j'étais devenu fou. Aujourd'hui je me rends compte que j'ai eu la grâce de m'adresser

à des médecins et chercheurs qui étaient ouverts. Une anthropologue française qui enseignait aux Beaux-Art de Paris m'a répondu ainsi: Il existe parmi

ces peuples une perception du monde que nous avons oubliés, une sensibilité exacerbé, aucune folie, simplement une perception différente du monde!

J'ai ensuite passé des années à voyager, rencontrer des chamans, prêtres, imams, bonnes-soeurs, initiés de toutes sortes dans le but de comprendre

le fait spirituel. J'avais cet insatiable besoin de comprendre, de voir, de percer le mystère de l'existence humaine, de vérifier le sens de la vie.

J'avoue que dans cette recherche je n'ai pas trié les gens avec qui je discutais. J'essayais de comprendre comment se structurait le rapport

entre l'Homme et l'invisible; et aussi comment ce rapport influençait au final le monde visible?

J'ai vécu un moment de total rejet du christianisme. En réalité ce n'était pas fondamentalement dû aux messages des évangiles mais aux horreurs

que je découvrais dans les archives qui traitaient de certaines fraternités de l'église catholique. Et comme je ne communiais plus, ni ne me confessais

à Dieu, je crois que le diable avait trouvé une porte pour me mentir. Bien que j'avais eu cette apparition d'Ange, je me suis laissé piégé par le serpent.

Il est tellement plus flatteur pour l'Homme et facile de tomber dans les pratiques ésotériques ou le païanisme que d'accepter humblement la réponse

à nos prières. Comme Saint-Paul, j'ai vécu un moment de combat contre le christianisme jusqu'à ma route de Damas où le Christ m'a mis à genoux

devant sa Toute-Puissance et son Amour infini.

Je défie quiconque sur terre de partager une doctrine orale ou écrite tirée de la vraie Histoire qui contiendrait un message d'Amour plus grand

et plus lumineux que celui des évangiles! Même dans la pensée magico-religieuse de l'Harmonie, typique aux chamans guérisseurs, je n'ai pas trouvé un tel amour qui allait jusqu'au sacrifice de soi, à la non-violence mais surtout à la résurrection physique attesté par de nombreux témoins.

 

Au fur et à mesure de mon évolution, un jour de 2015, je profite d'être avec un prêtre pour lui raconter mon rêve du pélican en Guyane, la lutte,

l'oiseau lumineux qui vient se poser sur moi et fusionner. Ce prêtre, Michel Brière, avec qui je montais l'exposition Éclat à l'église Saint-Joseph des nations

sur Paris me dit alors ceci: Sais-tu Sébastien que le pélican a longtemps était un symbole du Christ?

Plus j'avançais, plus je voyais clair, plus j'avais cette sensation que le Christ m'avait appelé toute ma vie.

Mais ma chair faisait encore résistance et ne voulait pas abandonner le pécher et se soumettre pleinement à Dieu.

Après cette exposition je suis revenu en Amérique centrale. J'ai décidé de me lever contre une fraternité ésotérique après une suite de visions

que je considère comme divine et véritable. Ces visions m'ont fait entrevoir une partie de l'histoire coloniale américaine. De l'arrivée des premiers colons dans leurs bateaux dans les caraïbes à l'assassinat de Kennedy, c'était comme un film historique en accéléré. La révélation de secrets historiques

de l'horreur coloniale séculaire...

J'ai alors décidé de dire stop! Stop à la destruction du vivant, stop au racisme colonial, stop aux mensonges des fraternités ésotériques qui promulguent

la laïcité et le scientisme pendant qu'elle pratique le "satanisme". Je dis -Arrière!- au diable qui voulait dévorer ma vie par la corruption et l'impudicité. 

Sauf que ma parole libérée m'a valu d'être arrêté et enfermé par la police. Puis on m'a forcé à "m'extradier" contre ma volonté. Au lieu de me détruire,

cela a renforcé ma foi et j'ai cheminé pour vivre le rituel de confirmation catholique, rituel d'onction, de prise de conscience et de réception consciente

de l'Esprit Saint.

 

J'ai alors étudié la présence de la loi naturelle parmi les peuples païens, le fait spirituel dans les sociétés sans-livre sacré. Le fait qu'il ai toujours existé 

des religions parmi les peuples et des notions du bien et du mal, était pour moi une preuve inhérente que le fait spirituel précéde le fait culturel.

Ce que les évangiles et l'apôtre Saint-Paul évoquent par exemple dans ces versets:

La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive,

car ce qu'on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître. En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l'oeil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, puisque ayant connu Dieu, ils ne l'ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces; mais ils se sont égarés dans leurs pensées,

et leur coeur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres.

Romains 1:20 

Ce ne sont pas, en effet, ceux qui écoutent la loi qui sont justes devant Dieu, mais ce sont ceux qui la mettent en pratique qui seront justifiés. 

Quand les païens, qui n'ont point la loi, font naturellement ce que prescrit la loi, ils sont, eux qui n'ont point la loi, une loi pour eux-mêmes; 

ils montrent que l'oeuvre de la loi est écrite dans leurs coeurs, leur conscience en rendant témoignage, et leurs pensées s'accusant

ou se défendant tour à tour.

Romains 2:14

 

J'étais devenu boulimique des mystères divins et pratiquais inconsciemment l'erreur du syncrétisme. Je voulais comprendre ces faits spirituels

qui ont marqué toutes nos sociétés, les miracles, la prière, le surnaturel, les plantes enthéogènes, la magie, l'alchimie et sa descendance: la science.

Par désir de conscience, j'étudiais autant les religions révélées que les religions à mystère. Par intégrité intellectuelle, je me suis vu enquêter

aussi bien sur les descendances des pratiques traditionnelles animistes que sur les religions inventées par monde occidental comme le "New-Age".

Quelle fut la surprise pour moi de comprendre que toutes les puissances politiques de ce monde avait été profondément liées à des pratiques religieuses

ou ésotériques. Qu'il existait de par le monde toutes sortes de fraternités et sororités basées sur des pratiques initiatiques; et que sous couvert de la science

et d'un "athéisme-étendard" mon propre pays, la France, était remplie de pratiques occultes effectués par des groupuscules à l'écart du peuple.

C'était une probante réalité documentée de façon historique, par écrit, en dessin, en photographie et même plus récemment avec la vidéo.

J'ai étudié la théologie jusqu'à en venir à cette conclusion: le guérisseur, le prêtre, le chemin divin, l'être divin par excellence, le plus noble des Hommes

de l'Histoire est en réalité Jésus-Christ! Le verbe Divin, Dieu incarné! Je n'avais plus aucun doute.

 

Dieu m'avait laissé libre de me perdre dans le péché, dans des pratiques magiques, dans mes faiblesses de la chair jusqu'à attendre

que je m'incline devant lui et implore sincèrement son Pardon et sa Grâce.

En 2019, il m'a offert la possibilité de ce qu'on appelle dans le christianisme naître de nouveau, une naissance dans l'Esprit-Saint.

Dieu m'a fait comprendre que je devais désormais me vouer entièrement à l'établissement de la Vérité unique et divine.

Démarrer ma repentance et abandonné ma vie de pécheur jusqu'à être de la plus grande pureté possible. La mission d'une vie car il nous souhaite parfait.

Il m'a fait comprendre que je devais utiliser mon parcours et mes faiblesses de pêcheurs comme un moyen de sympathie avec tous mes autres frères

et soeurs perdus dans le péché à outrance. Car ceux qui se sont perdus dans les mêmes chemins boueux que moi, Dieu m'a montré comment participer

à leur nettoyage et à leur nouvelle naissance.

Puis, comme un éclair de conscience, la prière m'a fait comprendre que je me devais de clarifier l'Histoire, de prêcher l'Amour auprès des païens,

néo-païens et laïques notamment en leur faisant comprendre que certaines fraternités de l'église catholiques qui ont participé au colonialisme n'ont pas respectée la volonté d'évangélisation pacifique du Christ Jésus. Mais que le message des évangiles pour obtenir la vie éternelle et les prophéties bibliques sont véritables. Que la véritable force de Christ vient de l'Amour de son prochain et non de la guerre ou de l'esclavage. La vraie foi est un libre choix.

J'ai aussi oeuvré à écrire plusieurs articles sur l'ancienneté de l'église africaine en égypte et en éthiopie des premiers siècles, démontrant que le mythe

d'un christianisme arrivé en Afrique avec la colonisation du 15ème siècle est une propagande antichrist. Je milite aussi pour la valorisation de l'Histoire Colorée, entendais là: la valorisation des Saints de couleurs pour rendre une réalité de la foi et des héraults de Dieu à travers toutes les cultures.

 

 - Si nous marchons dans la chair, nous ne combattons pas selon la chair. Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles;

mais elles sont puissantes, par la vertu de Dieu, pour renverser des forteresses. Nous renversons les raisonnements et toute hauteur

qui s'élève contre la connaissance de Dieu, et nous amenons toute pensée captive à l'obéissance de Christ. -

2 Corinthiens 10:4

Le Christ m'a mandaté dans une continuité de la mission de Saint-Paul, prêcher auprès des païens avec un message spécifique: 

Ce qui est important aux yeux du Dieu des dieux, du Créateur Tout-Puissant ce n'est pas qu'un peuple s'occidentalise, se judaïse,

qu'il s'habille de costume-cravate, qu'il se pare du légalisme ou qu'il efface sa culture mais bien qu'il tourne réellement sont coeur vers Dieu. 

Jésus-Christ est le messie de tous les peuples en Vérité, le chemin vers le Créateur. Toutes pratiques délétères comme parler aux esprits, aux morts,

pratiquer la magie est une perdition et une dérive malsaine. Ce que nous devons au Père de l'univers et de toutes les nations c'est l'adoration.

La seule bonne raison de s'adresser aux esprits est de les exorciser comme Jésus-Christ et ses disciples le pratiquent eux-même.

Cette mission à des aspects multiples car elle consiste aussi à prêcher auprès de mes frères français le retour à un christianisme pur, essentiel, primitif,

dirigé dans une relation directe à Dieu et une lecture réelle de la bible plutôt qu'à des socialisations coutumières ou une soumission aveugle à des traditions humaines. J'ai beaucoup d'amour pour de nombreux saints de l'église catholique qui ont été de grands modèles de vie en Christ, cependant,

je suis aussi conscient des dérives de l'église catholique et prie qu'elle lave sa coupe de l'intérieur.

Je souhaite qu'elle fasse Mea Culpa et sorte définitivement du pharisianisme. 

Ce cheminement spirituel a engendré de nombreuses oeuvres dans ma vie. J'ai souvent trouvé le monde de l'art contemporain d'une grande pauvreté spirituelle. Un lieu où l'on essaie de faire "du divertissement une religion" plutôt que de vouer ses dons à la louange et à l'amour du prochain.

Pour moi, l'art se doit d'être un instrument de construction d'un demain meilleur, un instrument nous approchant de Dieu.

 

Bien sûr l'art actuel est multiple et je ne souhaite pas faire de généralité, car certains artistes font preuve d'une véritable honnêteté. Mais trop souvent

à mon gout ceux qu'on expose sont vecteurs de l'intellectualisme, de l'idolâtrerie ambiante, de l'exacerbation du péché ou des passions,

de pratiques ésotériques, de pur divertissement ou bien encore porteur des logiques trans-humanistes... Il est évident que nous pouvons faire mieux.

Il y a aussi le fait que de nombreuses techniques ancestrales nobles comme celle du bois, de l'argile, de la fresque se battent pour continuer à exister. 

Tandis que l'on finance des projets "numériques", des "coquilles vides" et "oeuvres en résine plastique" à coup de subventions obscènes

au regard des artistes qui vivent humblement! La génération précédente à doucement glissait de l'artiste qui matérialise ses visions,

en artiste qui "virtualise" ses espoirs d'amélioration de la société.

Pour ma part, je suis une vie qui remercie Dieu d’avoir été insufflé. J'ai décidé de vouer mes dons à transmettre un message d'espoir.

En tant qu’Argile modelé et animé de la conscience, je cherche à diffuser la vie, l’amour, la paix et rester digne face à toute épreuve.

Je suis honoré d’avoir l’occasion de continuer l’œuvre créatrice de Dieu sur terre grâce à l'Amour qu'il m'inspire.

Je m'oppose clairement à l'envahissement de la "religion laïc" et du "scientisme" dans nos écoles. Ils sont devenus avec l'argent l'opium du peuple, 

plaçant la rentabilité économique et un "progrès technologique" aveugle avant les valeurs spirituelles, morales et humaines. 

Dans l'espoir de réaliser les plus beaux rêves que Dieu m'inspire, je lutte contre ma chair et le diable, dans l'espoir d'être véritablement libre, affranchi,

pour répondre à sa volonté. Malgré mes péchés et mes erreurs, je fais tout pour prendre le chemin de Sainteté que nous offre Jésus-Christ notre Messie.

Je vois chaque jour un peu plus que Dieu me travaille comme un vase d'argile pour me remplir de son Saint-Esprit et me perfectionner. Je chemine

avec espoir vers le paradis jusqu’au jour J du retour de notre Seigneur ou du moment de mon envol vers le royaume des cieux. Je m’efforce d'être receveur et surtout donateur des prophéties et des Révélations que le Seigneur partage avec nous grâce aux écrits ou parfois grâce au Saint-Esprit.

Je crois que l'oeucuménisme est très dangereux car il tire vers une religion mondialisée qui n'a plus rien à voir avec la Sainte-Doctrine.

Il ne s'agit plus aujourd'hui de rapprocher les enfants de Dieu d'églises différentes mais de créer une religion mondialisée confuse et mensongère.

Soyons conscients que certains juifs refusent encore le messie; que les musulmans blasphèment sa crucifixion, sa résurrection et sa divinité.

Je ne parle même pas des autres doctrines qui cherchent à faire disparaître l'âme comme le bouddhisme ou des religions dites païennes qui prient

une multitude d'anges déchus pensant que ce sont des divinités. 

Je suis pour une réunion de tous les disciples qui cultivent la vraie foi selon ce que demande les évangiles, dans une action correspondant exactement

aux messages des évangiles. Je pense qu'il existe des vrais disciples du Christ dans des églises aux dénominations différentes.

Il existe de vraies églises éveillés dans l'onction du Saint-Esprit et d'autres églises hérétiques, ce que les évangiles prophétisent sous l'appellation: 

les vierges folles et les vierges sages. Surtout, il existe en réalité une seule vraie église, celle de Jésus-Christ, composée de femmes et d'hommes

qui aiment Dieu et leur prochain en vérité.

Les hérésies ou erreurs à exorciser existent dans différentes églises: L'église catholique qui interdit de prononcer le nom de YAHWÉ pendant la messe,

les églises protestantes qui ne reconnaissent pas la réalité de la transsubstantiation, les évangéliques qui renient l'histoire des saints des 16 premiers siècles après J.C alors que beaucoup sont des modèles de dévotions et de vertus, etc.

Chacune des églises à des forces et des faiblesses, certaines sont plus ointes que d'autres, certaines encore sont dans une hérésie totale et travestissent

les évangiles. Ce n'est ni la taille, ni la richesse d'une communauté religieuse qui atteste sa sainteté mais la vérité de sa foi et de sa charité

dans le Saint-Esprit. Il semble qu'au regard de telles pratiques le mieux est d'appeler chaque croyant à lire intégralement la Bible et de s'y référer en priorité, puis de vivre par le Saint-Esprit; et enfin de se référer aux traditions historiques de son église uniquement si elles sont en accord avec l'évangile.

Dans un autre temps il est aussi possible de se cultiver sur l'histoire globale du Christianisme et ses branches variées pour mieux distinguer qui sont

les véritables disciples du Christ. Nous devons cultiver notre Histoire, la mémoire de nos témoins, de nos saints, de nos martyrs, l'unité est notre force! 

J'appelle vivement tous mes frères en Christ à la préparation du Millenium:

ce qui veux dire diffuser la bonne nouvelle de la vie éternelle à ceux qui ne la connaissent pas encore; 

faire preuve de beaucoup d'amour même avec nos ennemis;

annoncer avec courage le retour du Christ;

ne pas hésiter à utiliser tous les dons charismatiques que le Saint-Esprit nous offre pour bâtir l'église de Dieu;

éprouver les esprits de ceux qui se disent chrétiens, pasteurs ou prêtre pour voir s'ils sont vraiment de Dieu comme le demande la Bible (1 Jean 4.1);

étudier le livre des révélations (apocalypse) pour faire de la fin de ce monde et de la préparation du nouveau un sujet de joie et de paix pour les chrétiens; marcher dans la sainteté et demander pardon dès que l'on tombe pour que Dieu nous offre sa Grâce et nous relève meilleur;

être de vrais modèles de repentance;

porter sa croix en tout temps;

savoir se sacrifier pour la Vérité Divine (argent, emploi, relations...) car Dieu nous éprouve et il pourvoira en temps nécessaire;

vivre dans la joie, la paix et la confiance en Dieu;

se confesser à Dieu et à nos vrais frères et soeurs;

se pardonner les uns les autres;

et pour ceux qui se sentent appelé par ce ministère nous devons avoir le courage de dénoncer les oeuvres du diable et des sectes qui le servent!

De mon point de vue nous devons attendre le retour du Christ activement en traçant pour les générations à venir un meilleur chemin que celui que cherche

à nous imposer le "nouvel ordre mondial", aussi appelé gouvernement de la "bête". Le bon chemin c'est celui que le Messie a partager ainsi:

Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C'est le premier et le plus grand commandement. 

Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.

Matthieu 22:37

Généalogie
Culture du Métis-Sage
#ActivisteSpirituel

Selon ma Généalogie 

 

      Lié à tous les êtres humains par le premier homme: Adam, lors de mon arrivée dans ma famille humaine j'ai reçu le nom de Sébastien Charles Amar Hamideche. J'incarne un sujet du Christ Roi, ainsi qu'un sujet un peu tabou en France: le métissage.

Avec cette spécificité que je suis un métis blanc, comme d'ailleurs les Kabyles et certains Berbères ont toujours été des blancs d'Afrique. 

Je suis ce qu'on appelle un français métis de 3ème génération ce qui veut dire que mon grand-père maternel venait d'Italie et mon grand-père paternel d'Algérie française. Ma famille italienne avait aussi du sang Hongrois et ma famille algérienne du sang Kabyle et Arabe.

C'est ajouté à cela le sang Français et on croit aussi du sang Belge. C'est un cocktail multiculturel. 

Après de longues réflexions, je pense aussi que j'ai du sang hébreux venant d'Hongrie et d'Italie. Et peut-être d'une façon bien plus éloigné dans le temps via les tribus berbères. Ce qui est sûr c'est qu'à chaque fois que je communie j'ai le sang de la tribu de David qui vit en moi. 

Soigner son identité, c'est soigner l'identité de la Nation!

La "république" donne souvent la sensation que lorsqu'elle valorise quelqu'un avec des origines particulières cette personne a "vendu son âme". 

Et je crois que c'est un peu trop souvent proche de la vérité pour que le sujet soit banalisé, la corruption politique, identitaire ou historiographique

est une maladie dont la France doit se débarrasser une bonne fois pour toute. 

 

La culture occidentale considère qu'il y aurait une logique tutélaire à partir du moment où l'on est blanc ou clair de peau a oublié toutes autres racines familiales et génétiques que nous porterions, pour être inconsciemment du côté d'une sorte de "Pouvoir colonial dominant" fantasmatique.

 

De nombreux juifs, kabyles ou autres ethnies claires de peau essayent parfois d'être "discrète" suivant les époques et les idéologies,

pour ne pas être agressé, persécuté ou écarté à cause du "racisme institutionnelle" mais aussi à cause de ce qu'on appelle le "racisme ordinaire". 

En réalité quand on voit une montée du communautarisme de toutes sortes, du racisme, du fascisme ou du néo-nazisme dans les pensées on se doit de tirer la sonnette d'alarme. Les métis sont des ponts, des porteurs de l'unité, des autres comme nous. 

Ils ont généralement deux possibilités dans des sociétés "racialistes" :

1) Choisir un camp et renier une partie d'eux-mêmes, ou,

2) Incarner pleinement leur identité métisse quitte à être marginalisé par leurs différentes communautés respectives.

Je suis français né de parents français, eux-mêmes métis. Je suis ce qu’on appelle la nouvelle génération qui hérite d'un multi-culturalisme qui souhaite

se vivre librement. Je fais partie de ceux qui ont tellement intégrés et assimilés qu’ils n’ont plus beaucoup de marqueurs culturels de leurs ancêtres.

Par exemple, on ne devait ni parler italien ni arabe avec mes grands-parents, ce n'était pas bien vu. Cela aurait pu être un atout culturel et professionnel 

sur le long terme, mais la recherche d'intégration était plus forte que le désir de conservation des savoirs culturels et ethniques. 

La société française a oeuvré à un déracinement appelant cela "l'intégration". Les langues n'ont pas été transmises par désir de faire bien français.

En réalité l'histoire des origines de beaucoup de familles, est une vraie enquête inter-générationnelle! 

A mon sens, cette politique d'intégration qui imposait une certaine violence psychique de la part de l'état au peuple a engendré aujourd'hui de graves conséquences. À contrario de la génération précédente, des français dont les familles avaient immigré pour travailler en France, à cause d'un sentiment

de rejet de leur identité essayent volontairement de se détacher de la culture française car leur identité est blessée.

Il est évident que le racisme de certaines entreprises et institutions ont aussi participé au désir de rejet de l'identité française qu'on voit dans certains quartiers populaires. La difficulté de trouver un emploi à cause de sa couleur de peau ou son nom de famille et la paupérisation qu'entraîne le capitalisme, cristallise et fragilise les boulevards de l'identité française pour rejeter les plus nécessiteux dans les ruelles étroites du repli sur soi,

parfois même sur un passé ancestrale fantasmé où l'on n'était pas rejeté pour qui l'on était.

Dans ma propre famille, ce qui m'a intéressé c'est de comprendre que par exemple mon grand-père italien avait dû travailler au sein de l'armée française

dans la Guerre en Algérie, mais que mes deux grand-pères étaient heureux de se retrouver ensemble à table pour les fêtes de famille! 

Ou bien encore que mon grand-oncle utilisait son train pour passer de la nourriture aux plus pauvres pendant l'occupation allemande.

Je suis donc un être humain issu d'un Amour qui a dépassé les migrations, les colonies, les guerres pour devenir un serviteur de la Paix.

Je prône l'idée simple et patriotique que pour que la France entre dans le 21ème siècle avec puissance, elle doit écrire l'unité sur une page blanche, nouvelle, saine et lavée du "post-colonialisme" et du "racisme ordinaire". Car à force de voler les plus pauvres, de créer de la dette, d'utiliser l'état

comme une entreprise de liquidation mondialiste des biens publics et d'attiser les haines communautaires, la France pourrait devenir le "Reich nazi"

qu'elle a combattue si ardemment en 39-45.

Que diraient les patriotes morts pour la France de la façon dont notre pays perd d'une part sa religion et de l'autre sa souveraineté politique?

Je suis un amoureux de l'Histoire de France, de sa grande ouverture d'esprit et de son rayonnement international. 

Je crois donc vraiment que c'est après un Mea culpa de la nation sur la colonisation et des mesures correctives engagé que nous allons évoluer. 

Qu'il s'agisse aussi bien d'aider à l'accès au monde du travail aux français de couleurs que de construire des infrastructures normales dans les Dom-Toms,

cela va générer une réparation effective de l'unité nationale. Bien sûr tout cela doit prendre vie dans une politique global d'investissement public

dans les petites et moyennes entreprises pour que tous les français, de toutes les couleurs, participent à l'émulation générale d'une nouvelle France.

Cette impulsion économique devra être soutenu par une rénovation complète de l'école publique pour ré-intégrer des valeurs saines dans l'enseignement.

La tendance populiste qui veut faire croire aux français blancs que pour survivre dans la crise économique ils doivent participer à ce système "néo-raciste"

qui mélange capitalisme et amoralisme est pour moi diabolique et mensongère. Le favoritisme à la blancheur, le racisme, l'athéisme et le mondialisme

ne vont ni aider l'économie, le bien-être, le développement du pays ou votre bonheur individuel! Au contraire même! Je sais qu'il y a une tendance,

tout aussi diabolique, à dire qu'il faut être antireligieux mais si nous pouvons condamnez certaines religions pour leur violence nous ne pouvons pas condamner la Parole du Christ! Les évangiles sont sources d'amour, de paix, d'intelligence, de moralité et notre pays de culture judéo-chrétienne à besoin de ce soutien pour s'édifier.

Je sais que des groupes fascistes et néo-nazies se sont constitués dans l'armée, dans la police et même chez certains pompiers, nous ne comptons

plus les nombreux articles de presse sur eux depuis ces dernières années. Nous avons vu le dénommé "Benalla le vigile de sécurité" du président

Emmanuel Macron tabassait des gens pour s'amuser pendant son week-end. Nous avons vu des policiers payés à tabasser des gilets jaunes,

leur faire perdre des bras ou des yeux. Certains articles ont même exposé clairement les liens mafieux et sectaires néo-nazies dans l'environnement

de ce "chien de garde" de la république.

Voulons-nous vraiment d'une France violente, raciste et sanguinaire? Voulons-nous de français qui ne se soucient plus de leurs âmes?

Voulons nous tomber dans le piège de l'état qui se réjouit de créer des révolutionnaires violents quand il ne paye pas lui-même des casseurs

pour faire passer les syndicalistes pour des gens violents? 

La paix et la solidarité interne de notre peuple ne peut que générer plus de prospérité. C'est à nous d'imposer à l'état une morale réelle! 

Ce même président qui avait proposé dans son programme: la moralisation de la vie politique. À peine élu il fait disparaître cet objectif du programme... 

Honte à ce parti d'opportuniste et cette république de voleurs et menteurs.

 

Le fait que la France est une grande Histoire Judéo-Chrétienne, qu'elle dispose de lien avec de nombreuses ex-colonies et des régions d'outre-mer

est en réalité une force extraordinaire. Si la France n'agit pas dans le respect avec ces territoires elle risque la rupture et ce sera une perte réelle

pour tout le monde.

Voir naître une nouvelle force dans l'énergie qui circule dans notre pays n'est possible qu'avec l'honnêteté de la Nation, et selon moi un renforcement

des traditions chrétiennes comme la charité et le pardon dans notre pays. Plus la France assumera son identité judéo-chrétienne, plus elle sera d'une grande ouverture sur les diverses cultures qui la composent avec un respect sincère. J'appelle à une grande conversation, mais surtout à une reconversion,

une repentance de la nation pour édifier une France forte et aimante! La France de demain se construit sur des valeurs solides et saines!

Culture du Métis-Sage, le résumé

     Sur un plan socio-culturel, côté italien, mon arrière grand-père Henri Forni a été cheminot et maçon fumiste de cheminée.

Mon grand-père Charles Forni a d'abord eu cap de menuiserie, puis il a servi dans la Guerre d’Algérie, ensuite il a été moussaillon, ouvrier, chef d’équipe, conducteur de travaux au Togo et enfin directeur de travaux. Dans nos familles originaires dans le Nord-Pas de Calais tout le monde ou presque

a eu un membre de sa famille mineur. Les femmes étaient au foyer ou dans des ateliers de couture.

 

Mon grand-père paternel Amar Hamideche est née en Algérie française, il a été mineur, plombier chauffagiste à l’hôpital de Lens. Il a ensuite ouvert

un café, puis a fini dans l'élevage de veau et l'orthiculture. Ma grand-mère Jacqueline Desbourses, sa femme, était aide-soignante à l'hôpital

de Lens. Je viens d’une famille originaire du Nord-Pas-de-Calais, d’une culture Ch'ti, de la classe dite populaire des années 80-90.

Après une jeunesse à Lens et un Bac Economique et Social option Arts, je m’engage sérieusement dans la pratique artistique.

Influencé par différents horizons fertiles, j'oeuvre une fusion entre pratiques vernaculaires (céramique, bois, peinture à l’huile…) et techniques de la rue

(Tag, pochoirs, graffiti, ciment… ). J'oeuvre aussi à mener une création sur les liens entre le rituel, la prière et la performance dans le champ des arts visuels. 

 

De façon officielle, mon parcours d’apprentissage professionnel est passé par les Ateliers de Sèvres, l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris,

le Columbia College de Chicago et l’Institut Européen des Arts Céramiques. De mes 20 à mes 25 ans j’effectuerai de nombreuses missions auprès d’institutions culturelles comme le Centre Pompidou, le Palais de Tokyo, le Cabinet de Dessin Jean Bonna, l’Atelier d’Orlan ou de Fabrice Hyber

par exemple…

 

Ma pratique artistique est profondément ancrée dans le réel et dans la foi de l’artiste comme quelqu’un qui a le devoir d’avoir une action sociale,

ainsi j’ai oeuvré avec des associations comme Entr’aide, le collectif  Degré 7, Culture et Liberté 62, Les Jeunesses autochtones de Guyane etc.

Le plus grand parmi vous doit être votre serviteur. Celui qui s'élève sera abaissé, mais celui qui s'abaisse sera élevé.

Matthieu 23:11-12

De façon officieuse entre 2008 et 2010, j’ai étudié les légendes urbaines. J’ai ainsi appris par exemple qu'il y avait vraiment eu des crocodiles

dans les égouts de Paris, que les zombies existaient vraiment à Haïti, que Babylone avait vraiment existé et qu’il existe encore sur terre des miracles divins enregistrés par des médecins et/ou des militaires.

 

Je cherche à comprendre la juste place de l’art dans l’expression de la foi. Le roi David a dansé pour YAWHÉ, les cantiques et le gospel préparent l’âme

à la grâce ou loue notre Seigneur, souvent l’art nous emporte, nous soigne, nous stimule, nous libère, nous fait réfléchir quand il est bien inspiré! 

 

J’écoute les liens entre le chant des amoureux, les psaumes de prière, le chant des oiseaux et la voix du vent… 

Depuis un an je rap et chante pour Dieu, c'est un nouvel outil de mon art je diffuserais plus grandement si Dieu veut.

J'oeuvre avec l'espoir de poser ma pierre à l'édifice de Dieu en vitalisant la culture française, amazonienne et tous les coeurs qui ont envie de battre

au rythme du bonheur! 

Un Militant! #ActivisteSpirituel

Si je dois résumer mon ouvrage d'activiste: il est un et multiple à la fois. J'ai d'abord été militant dans les instances étudiantes:

Conseil Académique de la vie Lycéenne, Conseil National de la vie lycéenne, manifestations d'étudiants, collecte de dons pour Haïti etc.

Ensuite, il y avait les actions que l'on menait avec l'aumonerie catholique comme l'aide en gériatrie, le sujet des personnes âgées placées en maison

de retraite m'a toujours touchait.

Représentant des Beaux-Arts

J'ai milité longtemps aux Beaux-Arts de Paris en tant que représentant des jeunes artistes-étudiants souvent avec beaucoup d'énergie et des résultats

légers comparativement aux efforts fournis. Au début un peu trop naïf vis à vis de l'administration, ensuite en conflit avec eux et à la fin profondément dégoûté des manipulations permanentes de ce genre d'administration hypocrite. En réalité les représentants dans ces grandes écoles d'arts sont souvent là

pour faire "illusion de démocratie" mais dès qu'ils s'activent à un projet sérieux ou des revendications éducatives, on essaye de les faire taire.

Quand j'ai démarré c'était comme s'il n'y avait jamais eu de représentation des jeunes artistes auparavant, pas de rapport d'activité des délégués,

des conseils pédagogiques et conseils d'administrations dont les bilans n'étaient même pas transmis aux autres étudiants...

Aucun moyen de s'informer au sujet des dossiers traités par les anciens délégués. L'opacité d'un vieux pouvoir technocratique républicain.

Des choses impensables pour quelqu'un qui connait le système normale des institutions démocratiques ou des syndicats.

J'avais la sensation que si vous "vous taisiez en Conseil d'administration", alors on pourrait peut-être vous donner une exposition ou un voyage d'atelier,

sans en parler ouvertement c'est évident, c'est plutôt comme une odeur dans l'air pendant les réunions.

Lorsque je suis arrivé, j'ai vu qu'il n'y avait plus eu depuis des années des interventions respectées par les administrateurs et professeurs de l'école.

Il arrivait qu'ils riaient quand les artistes étudiants prenaient la parole, c'est comme une tactique de "ridiculisation". J'ai découvert en fouillant un peu

qu'en 1967-1968 où les syndicats et les artistes étaient proches, les militants venaient chercher leur affiches aux Beaux-Arts de Paris.

La police avait même essayé de faire blocus et de dégager les artistes des ateliers de sérigraphies. Depuis l'état avait oeuvré à aseptiser l'esprit des jeunes Beaux-Artistes, à les embourgeoiser et à leur faire croire qu'il n'avait pas à parler de sujet politique: déjà qu'on leur laisse le droit de faire de l'art... 

Le plus étrange, c'est que les révolutionnaires anarchistes sont aujourd'hui mieux vus que les étudiants avec des projets concrets... Un jeune révolté violent sans foi et sans amour et plus facile à manipuler qu'une personne saine d'esprit qui sait maitriser ses passions pour faire aboutir ses projets.

J'avais l'espoir d'intégrer des formations de Street-Art, Graffiti et de Performance de façon plus claire à l'offre éducative des Beaux-Art de Paris.

En 2009-2010 ces techniques n'étaient absolument pas enseignés comme des vraies techniques ou des Unités de Valeurs. Ce projet sera "moqué"

par la direction notamment "Henry-Claude Cousseau" et certains enseignants membres du C.A.

On me dit qu'il ne faut pas canoniser ce genre de pratiques artistiques... En réalité c'est du mépris déguisé, voir "une violence de classe".

 

En réalité je trouve que démocratiser les arts populaires et permettre aux artistes de les intégrer comme ils le font  avec l'argile,

le dessin ou la photographie, permet une extension du champ des pratiques artistiques et une ouverture de l'esprit des artistes-étudiants. J'espérais

que le coeur et l'esprit des Beaux-Arts s'ouvre officiellement à la culture Hip-Hop et au Street-Art. Il est évident que le Street-Art trouve ses meilleures formations dans la rue, cependant à mon sens la France est très en retard sur sa considération officielle et muséale de ces mouvements artistiques.

Je militerai longtemps pour que les futurs prétendants qui sont placés aux postes de gestionnaires de l'établissement soit dans l'obligation de rendre public leur projet culturel et éducatif devant les jeunes artistes et le corps enseignant avant leur prise de poste. Bien que nous ayons reçu un grand nombre

de signataires internes à l'établissement à l'occasion d'une pétition portant cette proposition, cette proposition vue d'un oeil amusé de la part de l'ancien ministre de la culture F. Mitterand a été écarté sans respect. 

En 2011-2012, certains membres de l'administration ainsi que des personnes s'occupant de la sécurité de l'établissement prévoit avec l'arrivée 

de Nicolas Bourriaud de diminuer encore l'amplitude du temps d'ouverture de l'école. Il faut savoir qu'il fut un temps où les Beaux-Arts était ouvert tout 

le temps pour que les artistes puissent travailler quand bon leur semblait, puis cela a été jusqu'à minuit, puis 22 heures. L'administration souhaitait encore réduire cette amplitude horaire d'ouverture aux artistes pour fermer à 20h, pendant que de l'autre côté elle réservait de plus en plus souvent l'école

à des riches et entrepreneurs pour leurs sauteries ou soirée de galas, bloquant de fait l'utilisation des locaux pour les études. Je suis un peu déçu

par la vision dépassée, sécuritaire, financialiste et privatisante de l'avenir de cette grande école d'art publique issue de l'Académie Royale.

Lors des assemblées d'étudiants j'imposerai à l'administration de tenir ses promesses en négociant que les ateliers de pratiques artistiques restent ouverts jusqu'à 22 heures, promesse qui a été tenue au moins jusqu'en 2014 et j'espère jusqu'à aujourd'hui.

Protecteur de la Création - Amazonie Libre!

A partir de 2015, j'ai commencé à militer contre le projet Montagne d'Or en Guyane française et il ne s'agissait plus de militantisme étudiants.

Dès que vous touchez à des histoires de mines, de politique et de fraternités coloniales séculaires les ennemis sont des loups assoiffés d'or.

A travers des publications, des e-mails à des sénateurs et députés européens, oeuvres d'arts à ce sujet, des interventions en conférences,

j'ai aidé à ma mesure, à la prise de conscience de ce projet hautement dangereux et complètement irrespectueux des guyanais et de la Création.

Je me suis habitué aux menaces de mort, insultes, persécutions, ingérences dans ma vie professionnelle et le packaging "harcèlement des militants"; 

je pense aussi que le fait que je n'avais pas de structure associative qui pouvait défendre mes droits, il y a eu un vrai abus de la part des "méchants".

Je ne souhaite à personne sur terre de vivre ce que subissent les militants qui protègent l'Amazonie, cependant je souhaite à tout le monde le courage

de savoir se sacrifier pour protéger la vie. Le jour où j'ai appris en 2019 un échec probant du projet Montagne d'or, cela a été un vrai moment de joie.

Cependant, veillons et restons sobres face à la "bête coloniale" qui cherche toujours des terres à dévorer! 

Un militantisme politique et spirituel!

Depuis 2019, je milite pour une re-spiritualisation complète de la société Française, notamment car la morale et le chemin de la vie éternelle ont été oubliés. Les différentes religions et les croyances laïques sont devenues profondément fachisantes. Nous avons besoin d'avancer dans un esprit saint pour l'avenir. Notre pays étant devenu un des plus corrompus d'Europe(je vous invite à lire les articles et regarder les documentaire à ce sujet) depuis qu'il a exclu l'importance de la morale Biblique, car c'est Dieu qui définit le bien et le mal en vérité. 

 

Il me semble que la démocratie expose son système mensonger de machine au service du capital et de la finance! L'urgence est d'opérer directement

notre pays et nos concitoyens à l'âme ouverte et leur rappeler que nous sommes des êtres créés à l'image de Dieu, avec un destin et une vie éternelle

soit en enfer ou au Paradis!

 

Le plus beau des actes militants c'est l'Amour du Prochain et rien n'est un plus beau geste que d'agir et de prier pour sauver l'âme de votre prochain.

J'assume donc le message messianique avec autant d'humilité que possible. Ce message annonce dans la Bible le souhait de Dieu, que nous soyons tous, nous les élus de Dieu: roi, prophète et prêtre ou reine, prophétesse et prêtresse! Il veut créer une nation où tous les Humains seront en lui et lui en nous.

 

J'oeuvre à travers mon ouvrage d'artiste, de militant, de patriote, d'enseignant, de médiateur culturel à établir le royaume des cieux dans nos coeurs! 

Je marche vers le parfait avec bonheur, foi et persévérance!

Vous serez pour moi un royaume de sacrificateurs et une nation sainte. Voilà les paroles que tu diras aux enfants d'Israël.

Exode 19:6

-Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat auprès du Père,

Jésus-Christ le juste. Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier.-

1 Jean:21

- Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous cette bonne oeuvre la rendra parfaite pour le jour de Jésus-Christ.

Il est juste que je pense ainsi de vous tous, parce que je vous porte dans mon coeur, soit dans mes liens, soit dans la défense

et la confirmation de l'Evangile, vous qui tous participez à la même grâce que moi.

 Philipiens 1:6

 

Tu as fait d'eux un royaume et des sacrificateurs pour notre Dieu, et ils régneront sur la terre.

Apocalypse 5:10

 Phrase prononcée par l'église lors de la chrismation des disciples résumant les apprentissages bibliques:

 

- Tu es maintenant baptisé, le Dieu tout puissant, Père de Jésus, le Christ Notre Seigneur, t’a libéré du péché, t’a fait renaître de l’eau et de l’Esprit Saint, désormais tu fais partie de son peuple, tu es membre du Corps du Christ, et tu participes à sa dignité de prêtre, de prophète et de roi.

Dieu te marque de l’huile du salut, afin que tu demeures dans le Christ pour la vie éternelle. -

Et toi qui es-tu ?

JARIKU Les Ateliers - Image Royale - Sé
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