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      Biographie

Mon nom de naissance est Sébastien Charles Amar Hamideche, mon nom de nouvelle naissance est JARIKU.

Je suis né en 1989 en France et commence l'apprentissage du dessin à l’âge de huit ans à l’école Municipale F.Bourguignon de Lens, Hauts de France. 

Je suis initié à la peinture à l’huile par une artiste locale, Gabrielle Palaszc.

 

Au lycée, je développe une personnalité engagée avec des projets artistiques, sociaux, syndicaux et religieux. Je suis élu représentant au Conseil National de la Vie Lycéenne pour ma région à mes 17 ans. Le rectorat ayant peur de ma grande sincérité ira jusqu'à modifier la liste des élus pour que je ne sois pas invité aux réunions avec le ministre de l'éducation nationale, un évènement marquant qui m'enseignera très jeune "l'hypocrisie de la république". 

Français patriote, métis de troisième génération de confession chrétienne et fils d'antiquaire, je mène une pratique généreuse et ouverte sur le monde.

Aux oubliettes le concept de "rupture" imposée par la période art contemporain, je pratique un art de l'union. La vie m'a donné la grâce extraordinaire

de pouvoir côtoyer dans la même journée une toile post-impressioniste de Bouquillon, un bronze de Dali, une faïence de Desvres, une table Louis XIV,

un graffiti fait par mon frère et des amis, des illustrations des livres de la bibliothèque municipale et des manifestations de syndicats d'ouvriers marchant

des corons jusqu'à la préfecture. Voilà la danse esthétique qui a inspiré le JARIKU STYLE! 

En 2008, après un baccalauréat Economique et Social option Art plastique, j'entre aux Ateliers de Sèvres à Paris, une école préparatoire aux écoles supérieures d‘arts. J’ai la joie d'intégrer l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris en 2008, au sein de l’atelier du peintre Dominique Gauthier, puis j'évolue aussi dans l’atelier modelage du sculpteur Patrice Alexandre. Mon cheminement à l’ENSBA est jalonné de nombreuses performances

dans des lieux publics ainsi qu'au sein d’un atelier collectif qui reçoit les conseils de l’artiste performeuse Tania Bruguera.

Lors d'un concert en Seine-Saint-Denis, je découvre une association qui milite pour des réparations éthiques et économiques dues à la colonisation française et un respect pour les immigrés et descendants d'immigrés vivant en France et ayant construit notre beau pays. Cet évènement va marquer ma conscience

de la façon dont notre pays essaye d'avancer sans vouloir réparer ses erreurs.

 

Mon destin me donne l'occasion d'unir action artistique, poétique, politique et spirituelle en une seule et même entité inspirée. 

Je médite et oeuvre d'abord la création d'un Social Art, je m'intéresse aux artistes qui interviennent dans le domaine du relationnel et dont l'oeuvre

est autant humaine que formelle; ceux dont la démarche questionne notre structure politique et le lien entre corps-esprit me semble ouvrir des portes notamment des artistes comme "Anna Halprin, Gianni Moti, Piotr Pavlenski..." Au niveau des chercheurs du beau classique, je m'intéresse à des artistes comme Edouard Manet, Camille Claudel, Michel-Ange ainsi qu'à des confrères de la génération toute proche comme Andy Goldsworthy, Banksy

ou Julien Beneyton.

 

Sur le plan politique, deux années de suite en 2010 et 2011, je serai représentant délégué des jeunes artistes des Beaux-Arts auprès des membres

du conseil d'administration et du ministère de la culture. 

Sur le plan de l'ingénierie culturelle, entre 2009 et 2011, je crée avec le Député-Maire Guy Delcourt, la première résidence d’artiste plasticien

de la Ville de Lens en préfiguration de l’arrivée du Louvre-Lens. Je la nomme pour l'occasion V.I.P = Very Important Population.

Je baserai les objectifs de la Résidence sur la possibilité de faire d'une population éloignée de la pratique artistique, un groupe d'artistes actifs;

ainsi les lensois à la retraite, les enfants et jeunes adultes sont invités à devenir aussi bien modèles que peintres d‘oeuvres collectives.

Cette dynamique sera pérennisée plusieurs années par la mairie sous la forme d'une bourse à la création.

En 2011, se monte au sein des Beaux-Arts le collectif Degré 7 avec lequel nous oeuvreront pendant cinq ans autour de la notion de l’argile comme liant

et lien inter-culturel. Nous sortons des cases artistes, artisans, art contemporain ou art premier pour nous concentrer sur l’acte créateur avec la glaise 

et son grand potentiel. Au fur et à mesure des années, je participerai à plusieurs résidences Guyanaises en Amazonie française. 

Invité par le C.A.R.M.A (Centre d’art et de Recherche de Mana) et l’association Oli’no, la première résidence se fera auprès des potières amérindiennes Kali’na de Coachy, qui partageront leur processus de création céramique: rituel du ramassage de la terre, colombin, feu à ciel ouvert, dessin à l’encre végétale et enfin utilisation du "shimili"(=sève émail). S’ensuivront au fil des années d'autres résidences avec les Sa'amaka, musiciens et sculpteurs sur bois charismatiques, descendants Neg’Marrons ayant fuit l’esclavage pour conserver leur liberté et une essence de la culture africaine en amérique centrale.

En 2012, j’effectue un programme d’échange au Columbia College de Chicago en section Interdisciplinary Arts où j’étudierai la mosaïque, le "yoga",

la stratégie de la performance, l’infographie et la peinture. Suite à ce semestre, je partirai avec une collègue artiste en Résidence Sauvage 

au Nouveau-Mexique à la rencontre de la culture Pueblo et des utilisateurs de turquoise .

 

En 2013, pour l‘obtention de mon Diplôme National Supérieur d‘Arts Plastiques, je mène une recherche via mon mémoire sur les liens

entre pratiques artistiques et animisme. Je suis certain qu'il y a dans dans l'acte de la création d'une oeuvre d'art une profondeur spirituelle

que beaucoup ne voient plus à leur juste valeur. Je m'intéressais donc aux artistes "mystiques" comme André Breton, Yves Klein, Joseph Beuys,

Michaël Heizer, Jackson Pollock dans le but de comprendre: D'où vient l'inspiration, et, qu'est-ce qu'est le monde spirituel?

Je rencontre aussi des chamans amazoniens, des initiés en mongolie, des bonnes soeurs, des prêtres, un imam, des soufis, des anthropologues, 

tous les gens qui ont un lien particulier avec la compréhension des structures du monde spirituel. Je cherche la vérité avec un grand V. 

J‘investis le centre de Paris avec Métanoïa dans le coeur du palais des Beaux-Arts, une exposition centrée sur la quête du spirituel unissant un large public, des dizaines d‘artistes d‘autres branches, des théoriciens et scientifiques. A mon sens, il est important de faire cohabiter des techniques millénaires

comme la céramique avec des technologies motorisées ou des danses Hip-Hop innovantes. Décloisonner le temps et les styles pour élever notre potentiel

et faire croitre notre inspiration est essentiel. Ensuite je réalise un post-diplôme à travers une résidence à Nosy Tanga, Madagasacar, au sein du projet

"Et In Libertalia Ego" créé par Matthieu Briand avec la Maison Rouge. En 2014, j'expose mes peintures et performe dans Paris. 

De 2009 à 2014 j’évolue aussi pendant dans le milieu culturel parisien en en tant qu’assistant d’Orlan, animateur-conférencier du Centre Pompidou

et médiateur du Palais de Tokyo. Ces postes multiples me permettent de percevoir l'intégralité de la chaîne de la création artistique et leurs modalités

de présentations. C'est aussi une grâce inestimable de faire de la médiation et ateliers de pratiques artistiques un nouvel écho de vie aux oeuvres

d'une multitude d'artistes. 

 

En 2015, je renoue avec mon amour de la culture judéo-chrétienne et participe aux réunions et au projet d'exposition d'ABA, l'Aumonerie des Beaux-Arts. Plus le temps passe, plus je sens mon besoin de faire évoluer mon Social Art en Art consacré. C'est bien cette force invisible qui pousse les hommes

à faire le bien, cet Amour qui nous unit, cette puissance spirituelle que je place au coeur de mon art.

 

Je voyage ensuite une nouvelle fois en Guyane après une longue démarche d'enquête historique et politique, j’effectue la performance-rituelle

La danse des égos sur Cayenne, cette performance a pour but de créer une catharsis spirituelle dans un projet muséo-graphique contenant

une obsolescence programmée. Le processus: prendre un poste de cadre en politique culturelle et y inclure une méthodologie d'exorcisme pour chasser le démon du système néo-colonial français. Une performance dirigé directement contre nos propres maux intérieures mais aussi contre les fraternités ésotériques qui gangrènent la république française. Cette performance m'offrira une compréhension nouvelle de l'Histoire de l'humanité,

mais aussi un licenciement, une arrestation, des insultes, des menaces de mort, des persécutions, une exclusions de certaines expositions, etc.

Pourtant c'est grâce à cette performance que j'entre dans l'Activisme Spirituelle en vérité! 

En 2016, je développe un ouvrage de sculpture et de peinture autour de l’idée d’objets évoquant les mythes dans lequel morceaux d‘antiquités, fossiles,

pierres précieuses et plumes côtoient le recyclage et le Graffiti. Je décide de me faire confirmer au sein de mon évêché d'origine après une étude

du Saint-Esprit dans la foi chrétienne, intégrant en vérité après cette expérience Guyanaise qu'il n'y a que Jésus-Christ qui peut exorciser le mal.

Je décide de ne pas céder aux menaces et de continuer à militer pour la protection de la Guyane depuis l'hexagone,

je me rapproche de la J.A.G(=Jeunesse Autochtone de Guyane) et intervient en conférence sur Paris pour dénoncer le projet "Montagne d'or",

un projet de mine guyanais destructeur, écocide et violent. J'intensifie mon étude des mouvements de décolonisation du 19ème et 20ème siècle

pour appréhender l'histoire Kabyle et Algérienne, ensuite pour me cultiver sur l'histoire caribéenne et les colonies françaises du monde entier.

Je comprends que même les mouvements de "décolonisations" d'aujourd'hui ont été envahis de l'intérieur par toutes sortes de "pirates de la pensée", membres des renseignements généraux et autres traîtres. Trop souvent des groupes et associations ne parlent pas ou peu du remboursement des capitaux par les banques et les familles de colons, d'épuration de la corruption politique, d'inventer un nouveau monde mais juste de changer de propriétaire 

ou de tortionnaire, de revenir aux vieilles religions "magiques", au "cultes de possession" ou "culte des ancêtres"...

 

Plus simplement, je me rends compte qu'il y a des mouvements truqués au sein même de la mouvance décoloniale. Certains arabes, indiens, noirs

et aborigènes placés dans les instances politiques sont souvent dans des réseaux gérés par les colons ou militent pour l'O.N.U et le gouvernement mondial. Il m'apparaît évident qu'en réalité la corruption est séculaire, et que, placer des personnes de couleurs achetées discrètement par les forces coloniales est une des pierres de tromperie de "l'édifice néo-coloniale". Plus je me fais prudent sur les associations et idées que j'étudie et original dans mes publications, plus je suis "persécuté". J'arrive à me faire des ennemis de beaucoup de milieux différents aussi bien des personnes d'extrême droite que de soi-disant "militants indépendantistes" des Antilles.

 

Parallèlement à cela, dans un besoin de donner et partager mes savoirs artistiques je deviens professeur de dessin bénévole pour les enfants de la Z.U.P

de Lens en oeuvrant dans l'association Culture et Liberté 62 jusqu'à créer une belle fresque dans l'unité. 

En 2017, je décide de sortir définitivement du moule "artiste contemporain" pour m'inscrire définitivement dans l'Activisme Spirituel,

je nommerai d'abord ma démarche "Urban Shaman" puis Prêtre de Rue. La recherche du Beau complètement écartée par la pensée contemporaine vient

me rappeler à elle; je me donne alors comme objectif de penser l'esthétique non pas comme simple recherche d'équilibre sur la toile ou dans la glaise

mais bien une quête d'harmonie dans mon environnement, au travers de l'Homme, de l'espace naturel et architectural, de l'espace politique,

des oeuvres et des relations humaines. 

Je vis un constat et une déception du milieu artistique officiel, je le trouve souvent artificiel et rempli d'artistes "désinvestis", où le service au capital

prime sur le service aux Hommes ou à Dieu. J'observe peu d'impact socio-esthétique positifs chez beaucoup d'artistes, je m'éloigne pour un temps

de l'intelligentsia culturelle pour forger ma sincérité. Je m‘engage dans un renouvellement du métier d'artiste en unissant pratiques artistiques et artisanales comme le prédestiné ma vision originelle.  Je sens que je dois, comme les premiers hommes, avoir une bonne connaissance de l'argile, de ses capacités

et des possibilités de sublimation de la glaise, ainsi démarre mon projet d’intégrer l’Institut Européen des Arts Céramiques. J'y apprends de nombreuses techniques nouvelles: création de mes propres émaux, sigilé, tournage, estampage, moulage, création de mes propres pâtes d'argiles, feu à ciel ouvert

et bien d'autres leçons. Je reçois le certificat de Créateur en arts Céramiques avec les félicitations du jury en 2018, et retourne avec humour 

la "fraternité des compagnons". Ensuite, j'avance pour faire naître mon espoir: JARIKU Les Ateliers.

En 2019, lors de ma relecture de la bible, je vis ce qu'on appelle naître de nouveau dans le christianisme. Je me rapproche réellement de Dieu

et détruis mes oeuvres trop "idolâtres" ou proches de pratiques "magiques". Je commence à corriger avec la Grâce mon comportement de pécheur. 

Je décide de vouer mes dons à l'évangélisation des nations. Pas à pas, mon art va être inspiré par mon amour du Sauveur de l'Humanité,

comprenant que l'aboutissement de cette recherche spirituelle me mène à passer de simple croyant à disciple actif du Christ.

C'est en tant que bâtisseur saint, amoureux et serviteur de Dieu que je déploie ma pratique créative. Je fais partie de cette nouvelle génération

qui propose de s'extraire des concepts d'un art "hermétique", "amoral" et "irréligieux". Créant des oeuvres poétiques comme consacrées,

c'est toujours avec ma position d'homme de foi que j'édifie l'avenir.

J'agis pour restaurer notre rôle d'artiste à sa juste place.

Nous ne sommes pas des pansements sociaux et nous sommes bien plus que des "divertisseurs du capital". Avec patience, je rappelle que nous sommes

des ponts entre les différentes parts de la société, voir pour certains entre la terre et le Royaume des Cieux. Nous avons l'honneur d'être des inspirateurs

des possibles, des catalyseurs de potentiels, des insuffleurs de liberté, d'unité et d'harmonie. Sans doute, sommes-nous une forme de résistance essentielle face à "l'inertie de la modernité", face à la violence esthétique des médias, au matérialisme apoétique, à la manipulation des masses et à la peur

que distillent les "pseudo-élites" parmi nous.

En 2020, j'effectue mon premier pèlerinage 100% chrétien pour prêcher la bonne nouvelle et le renouveau des dons charismatiques des Hauts de France à la Guyane Française, avec un parcours de plus de 7770 km. Je décide de pèleriner guidé via le Saint-Esprit sans être "cadré" par une institution humaine. Le pèlerinage de la vie permet de me laisser perfectionner, pas à pas, avec ses bas et ses hauts, dans la recherche de sainteté.

 

Avec en tête mon nouveau nom: JARIKU, j'oeuvre à mettre en lumière une évidence. La France redeviendra l'épicentre artistique du monde lorsqu'elle placera de nouveau le Christ en son coeur. Je milite activement aussi pour un développement de la culture et des arts en Guyane française, elle est pour moi une des trés belles régions de France. C'est un habitat où 90% de la flore et de la faune française se concentre, et où cultures et langues sont d'une multiplicité merveilleuse. Un lieu de vie et d'inspiration d'une grande beauté.

 

Je développe un nouvel ouvrage de performance, de fresque, de céramique, de louange et de peintures sur le village de Cacao.

Je me rends aussi clairement compte que pour devenir un bon artiste-missionnaire je dois faire repentance complète de ma vie passée.

J'étudierai en particulier Saint-Paul et sa façon de prêcher aux païens ainsi que les charismes et dons spirituels offert par Dieu pour édifier la communauté.

J'apprends en douceur à vivre selon le Saint-Esprit et crucifier ma chair, chemin d'une vie.

En 2021, me voici sur Cayenne pour ouvrir le nouveau site internet JARIKU Les Ateliers. Aussi pour aimer, créer, écrire, peindre, chanter, prier, bénir, exorciser, oindre, prêcher la bonne nouvelle! Je vais écrire à de nombreux politiques locaux, à différents ministères, au sénat, et à la présidence puis faire

des publications dans l'espoir que l'état et la région tiennent leurs promesses et redémarre le chantier du Musée et Centre d'Art M.C.M.G sur Cayenne, institution promise aux guyanais depuis 2012. 

En 2022, Je commence un ouvrage de portrait à l'huile de chanteurs gospels de différentes confessions chrétiennes.

J'apprends avec joie l'abandon du projet "Montagne d'or" pour la sauvegarde de la vie en Guyane.

Ensuite avec l'inspiration du Saint-Esprit je débute l'écriture de mon premier livre entre la Guyane française & les Hauts de France: 

Les 7 vertus & la Révèlation, un ouvrage qui valorise l'importance des révélations qu'offrent les vertus dans nos vies, tout en abordant

la géo-politique mondiale et l'Histoire avec l'éclairage des prophéties bibliques. Courant 2022, je reçois suite à mes nombreuses actions

un courrier officiel de la préfecture de Guyane et du ministère de la culture attestant que l'état et la C.T.G redémarre le chantier du musée M.C.M.G

sur l'ancien hôpital Jean-Martial, une grande victoire. Aujourd'hui, J'appelle donc tous les guyanais à veiller aux bons grains,

car ils ont des droits culturels comme tous les français.

Cette année j'avance l'écriture de mon livre, édite mon premier album rap-gospel ALEPH, avance la peinture, le graffiti et l'écriture de lettres d'activismes spirituelles et politiques à différents diocèses (et organes républicains).

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